jeudi, février 02, 2006

Video : L'évolution un mythe


mercredi, février 01, 2006

Les défis à la théorie de l'évolution : La création scientifique

Ces nouvelles découvertes qui défient la théorie de l'évolution
et confirment toujours plus la théorie créationiste décrite dans les messages donnés
à Raël par les Elohim.

Les ancêtres de l'homme et du chimpanzé se seraient croisés???


Les ancêtres de l'homme et du chimpanzé se seraient croisés pendant des millénaires sinon des millions d'années, avant une séparation définitive beaucoup plus récente que l'on ne pensait, selon une étude publiée mercredi en ligne par la revue Nature.

Selon ce travail mené par des chercheurs américains sous la direction de David Reich, de la Harvard Medical School à Boston, les deux lignées se sont d'abord séparées il y a 6,3 millions d'années au maximum, et probablement il y a moins de 5,4 millions d'années, mais cela ne les a pas empêchées de procéder à des échanges de gènes.

Cela, précisent les scientifiques, est perceptible en particulier au niveau des chromosomes X (chromosomes sexuels femelles), dont les similitudes semblent refléter une longue «ré-hybridation» entre les deux lignées. Le «divorce» final ne serait intervenu qu'au terme d'une période de «métissage» qui a duré peut-être 4 millions d'années.

«L'étude a donné des résultats inattendus quant à la façon dont nous nous sommes séparés de nos parents les plus proches, les chimpanzés. Nous avons constaté que la structure de la population qui a existé autour de la période de cette spéciation (apparition de nouvelles espèces) était différente de n'importe quelle population moderne de singes. Quelque chose de très particulier a dû se produire à ce moment-là», résume David Rech dans un communiqué accompagnant le texte scientifique.

Les résultats obtenus, selon les chercheurs, remettent en question le statut d'hominidés considérés comme les plus anciens ancêtres de l'homme, tels que le sahelanthrope (alias Toumaï), vieux de 6 à 7 millions d'années, Orrorin (dit «ancêtre du millénaire»), de 6 millions d'années, ou encore l'ardipithèque, de quelque 5,5 millions d'années.

À noter que l'énigme des origines du chimpanzé demeure presque entière: contrairement aux ancêtres de l'homme qui ont livré de nombreux fossiles, aucun ossement, exception faite de quelques vieilles dents, directement attribuable aux premiers chimpanzés (de même qu'aux gorilles) n'a été décrit à ce jour.

Par ailleurs, le séquençage complet du génome du chimpanzé n'a pas non plus apporté les indications escomptées. Tout en accumulant beaucoup de données, ce travail collectif, publié l'an dernier, a confirmé que les deux espèces sont génétiquement identiques à 99 %, sans permettre de définir la spécificité de l'homme.

NDLR : Les Darwiniens ferment la boucle : "les premiers humains pratiquent la zoofilie avec des chimpanzés pour se transformer en humains modernes" ! ... (" Néo-homo chimpanzensis...? " et ceci supervisés sans doute par les comités d'éthiques des troglodytes néanderthaliens !?

Quelle horreur !? N'était-ce pas le premier crime contre l'humanité ? ;-)))))

Ils sont vraiment à coté de la question...n'importe quoi plutôt que d'admettre une intervention extérieure intelligente !

Dans les messages donnés par les extraterrestres

L'évolution un mythe :
p 118-119 :

...Vos savants ne se trompent pas complètement en disant que l'homme descend du singe et le singe du poisson, etc..En réalité le le premier organisme vivant créé sur la Terre à bien été un monocellulaire et a ensuite donné des êtres plus compliqués. Mais pas par hazard! Quand nous sommes venus pour créer la vie sur la Terre, nous avons commencé par des créations strès simples et nous avons fait progresser nos techniques d'adapatation au milieu pour faire ensuite les poissons, les batraciens, les mammifères, les oiseaux, les primates, et enfin l'homme qui n'est qu'un modèle de singe amélioré, auquel nous avons ajouté ce qui faisait que nous étions des hommes, nous l'avons fait à notre image comme cela est écrit dans la Genèse biblique. Vous pouviez vous rendre compte par vous-même qu'une évolution accidentelle a bien peu de chance de se produire pour arriver à une si grande variété de formes de vie, aux couleurs des oiseaux, à leurs démonstrations amoureuses, à la forme des cornes de certaines antilopes... Cela est l'oeuvre de nos "artistes"... L'évolution de la vie sur la Terre, c'est l'évolution des techniques de création et la sophistication des oeuvres réalisées par les créateurs (les elohim) pour aboutir finalement à la création d'un être semblable à eux.


"Et l'homme créa la vie",

tel est le titre couverture du magazine Siences et Avenir du mois de mars 2006. Dans le dossier de ce magazine de 10 pages on ne s'étonne même pas de savoir que les biologistes, physiciens, chimistes, informaticiens veulent réinventer la vie dans les éprouvettes ou les ordinateurs grâce à la biologie de synthèse. Aujourd'hui "des chercheurs bidouillent les gènes comme d'autres les transistors électroniques" précise l'article.

Plus de 30 ans auparavant le Prophète Raël prophétisait déjà que nous serions un jour, à notre tour, capable de créer toute forme de vie - tout comme il est révélé dans les ouvrages de Raël que l'homme fut créée scientifiquement en laboratoire grâce à une parfaite maîtrise de l'ingénierie génétique et de l'ADN par ces êtres venus d'une autre planète, les Elohim. (mot hébreu signifiant "ceux qui sont venus du ciel" et que l'on retrouve dans la Bible, dans la version orignale à la place du mot Dieu)-.

Voici entre autre des passages de certains ouvrages de Raël que l'on comprend mieux et que beaucoup premennt plus au sérieux aujourd'hui, à la lumière de nos connaissances scientifiques :

Dans chaque particule d’un être vivant, il y a toutes les informations nécessaires pour sa reconstitution

Raël, «Le message donné par les extra terrestres » p.70 (1973). (voir aussi p.225 et 227).

« On comprend évidemment mieux à la lueur de cette révélation pourquoi il est écrit que “ dieu ” fit l’homme à son image, tout comme prochainement les biologistes de notre planète créeront grâce à leur maîtrise grandissante de l’ADN des hommes artificiels faits “ à leur image"

Raël, « La méditation sensuelle » p.18 (1980) . (voir aussi Raël, « Oui au Clonage Humain.» p.39, 100).


« Ezéchiel : « Fils d’homme, ces ossements peuvent-ils revivre ? ».

Raël, « Le message donné par les extra terrestres » p.225 (1975).

Reprogrammer des bactéries pour les transfomer en capteurs biologiques de polluants ou de toxiques ou d'autres comme Christopher Voigt qui créent des bactéries "renifleuses" de cancer, fabriquer des virus pour comme le dis E. Wimmer "montrer qu'un virus est une simple formule chimique" mais aussi pour mieux cerner le virus pour riposter et envisager de s'en servir pour s'attaquer à des maladies comme la fièvre du Nil ou la méningite, construire le génome minimal, concevoir des cellules artificielles, créer des chimères, ... autant de sujets passionnants que les bilogistes et chercheurs réalisent ou sont en voie de réaliser. Pour plus d'infos lire Sciences et Avenir de mars 2006.

Voici ce que Dominique Leglu dans son édito du magazine Sciences et Avenir dis à ce sujet p.4 :

"C'est une révolution silencieuse. Un de ces sauts scientifiques fondamentaux en train de se dérouler au coeur des laboratoires et que le grand public ne devrait plus pouvoir ignorer. Si nous avons décidé de titrer ce numéro "Et l'Homme créa la vie" ce n'est pas seulement pour le plaisir de jouer sur les mots. Mais parce que actuellement, entre éprouvettes et ... ordinateur, ce qui se passe est réellement extraordianaire : les spécialistes vont être capables, avec l'aide de programmes sophistiqués, de piloter des assemblages de molécules et de donner naissance à des organismes ... vivants. Après les chimistes, voici venue l'ère des biologistes de synthèse !

Depuis plusieurs décennies, les généticiens ont plongé au coeur du vivant pour découvrir les secrets de la "machinerie" moléculaire qui le fait fonctionner. Tels de nouveaux géographes, ils ont entrepris de cartographier les génomes. Tels des informaticiens, ils gèrent des milliards de données, tout en séquençant ces génomes, égrenant gène après gène, molécule après molécule... Ces recherches fondamentales les font naviguer dans la nature toute entière, de la levue au riz, en passant par notre meilleur ami Canis familieris et ses 39 paires de chromosomes, ou de tout petits orgnismes tel Mycoplasma genitalium et ses 517 gènes... Sans nous oublier, nous et notre génome à 3 milliards de paires de base.

Et voici qu'après les découvertes, vient le temps de l'invention. De la création. De la fabrication d'une nouvelle vie. On prend les vieux gènes de base et on refait du neuf. Si possible à notre profit, par exemple en créant des petits organismes ayant la bonne idée de produire de l'énergie...



L'homme : une maladie de l'univers
Ils inventent une nouvelle génèse

Sources

En violant les lois du code génétique, des biologistes et des chimistes ont modifié la machinerie moléculaire de la synthèse des protéines. Ils commencent ainsi à créer des éléments vivants qui, naturellement, n'auraient jamais dû voir le jour sur Terre.

Le moment est historique. Pour la première fois dans l'histoire de la compréhension et de la maîtrise du vivant, des scientifiques ont entrepris de créer de nouveaux organismes, des éléments vivants ne correspondant en rien aux règles du code génétique.

Spécialistes de la biologie moléculaire et de la chimie des protéines, ces chercheurs ont modifié la structure de l'ADN et des différentes molécules qui assurent la transcription des messages que porte ce support de l'hérédité. Ils commencent ainsi à explorer un champ totalement inconnu où les lois qui ont régi l'évolution de l'ensemble des organismes vivants ne sont plus respectées.

Un demi-siècle après la découverte, avec le code génétique, des bases de l'hérédité et de la réplication du vivant, et alors que l'on achève le décryptage du génome de l'espèce humaine, une nouvelle discipline est en train de naître. Contrairement aux autres domaines des sciences du vivant, sa démarche n'est plus uniquement fondée sur la compréhension, la maîtrise des lois fondamentales de la génétique. Cette forme de rupture avec le respect de la nature correspond à une idée de départ aussi simple que ses perspectives sont vertigineuses. En témoigne la publication d'un groupe de chercheurs japonais dans le numéro de février du mensuel de Nature Biotechnology.

DES PROGRES RECENTS

L'équipe dirigée par Shigeyuki Yokohama (Université de Tokyo) explique comment elle est parvenue à intégrer une nouvelle paire d'éléments unitaires de l'ADN (ou nucléotides) fabriqués par synthèse au sein d'une molécule d'ADN. Elle a ainsi réussi à élargir et à modifier le code génétique qui, en temps normal, permet de passer d'un alphabet de quatre lettres (les "bases" A, C, G, T de l'ADN) à un alphabet de 20 lettres (les acides aminés constitutifs des protéines). Et cela en impliquant la totalité de la machinerie moléculaire réalisant la synthèse des protéines.

Cette publication fait suite à une série de progrès récents accomplis dans l'incorporation de nucléotides de synthèse dans des chaînes d'ADN naturel. Elle marque une étape importante en fournissant la démonstration que l'on peut greffer deux nucléotides non naturels dans le processus existant.

Le principe d'une modification volontaire du code génétique n'est pas nouveau. Il a notamment été envisagé et étudié au début des années 1960 par Alexander Rich (Massachusetts Institute of Technology). En revanche, la mise au point de nouvelles techniques de biologie moléculaire et de culture des cellules hautement performantes rend aujourd'hui possible les premières réalisations concrètes.

Les deux premières publications marquantes dans ce domaine datent du 20 avril 2001. Le mensuel Sciencerévélait alors les travaux de l'équipe américaine dirigée par Peter G. Schultz, du Scripps Research Institute de La Jolla, et de celle, franco-américaine, dirigée par Philippe Marlière, fondateur de la société Evologic. Ces chercheurs étaient parvenus à créer, de deux manières différentes, une bactérie Escherichia coline correspondant plus aux règles du code génétique naturel, et contenant, en son sein, un acide aminé modifié.

Pour les tenants de cette nouvelle discipline qui prétendent élargir l'alphabet du vivant, le système que nous connaissons actuellement peut être modifié et enrichi. Ainsi, en incorporant, comme les chercheurs japonais sont parvenus à le faire, deux nouveaux nucléotides, S et Y, s'ajoutant à A, T, C et G, on obtient une nouvelle combinatoire qui bouleverse la donne traditionnelle et permet d'envisager la création d'organismes vivants aux propriétés insoupçonnées.

Deux approches sont aujourd'hui privilégiées. La première a pour objectif de modifier les règles du jeu génétique en transmettant à un ADN naturel (de quatre nucléotides) des instructions génétiques qui le conduiront à assurer lui-même la création de précurseurs de nouveaux nucléotides. Cette stratégie d'"invasion" pourrait conduire à la création d'un organisme à la fois transformé et autonome doté d'une machinerie qui n'a encore jamais été observée sur la Terre. Une technique voisine, dite d'"enclave", ne s'attaque pas au système de codage génétique naturel lui-même mais introduit, au sein de l'organisme, un système génétique différent agissant sur la synthèse des protéines.

LA REECRITURE DE LA GENESE

La seconde approche consiste à bâtir artificiellement des machineries microscopiques complètes. Ces dernières comprennent tout le nécessaire, de l'ADN contenant des nucléotides de synthèse non naturels jusqu'à la traduction de ce nouveau code sous forme de nouvelles protéines. Ces travaux sont privilégiés par des équipes plus proches de la chimie. En misant sur une reconstruction artificielle, elles s'opposent aux premières qui parient d'emblée sur une forme de plasticité du vivant qui leur assurera de pouvoir diriger une nouvelle évolution.

Dans les deux cas, le principal objectif est l'obtention de protéines chimériques n'existant pas dans la nature et dont les propriétés espérées pourraient avoir de multiples applications industrielles ou médicales. On compte aujourd'hui une dizaine d'équipes spécialisées dans ce nouveau champ de recherche aux Etats-Unis, au Japon, en Allemagne et en France. Leurs progrès sont observés par plusieurs géants de l'industrie pharmaceutique comme Roche ou Merck même si rien ne permet encore de situer avec précision quand pourront émerger les premières applications concrètes.

Conscients de l'importance des travaux qu'ils mènent et qui font d'eux de véritables démiurges, plusieurs responsables de cette nouvelle discipline ne craignent pas, pour définir leur nouveau champ d'activité, d'avoir recours à des métaphores empruntant au vocabulaire religieux. C'est ainsi que l'élargissement du code devient pour certains la réécriture de la Genèse tandis que d'autres estiment qu'ils poursuivent et complètent l'ouvre de la création comme Dieu aurait pu le faire, s'il n'avait préféré se reposer le septième jour...

Reste, pour l'heure, un problème majeur : celui de l'encadrement de travaux dont le caractère potentiellement dangereux ne peut être ni ignoré ni sous-estimé. A l'abri de leur originalité, ils échappent aux systèmes d'autorisation et de contrôle en vigueur. D'où l'urgence de prendre en compte, au-delà de la manipulation génétique du vivant, la possibilité de transgresser des lois que l'on tenait, hier encore, pour immuables.

Suite à ces découvertes, on peut se poser les questions suivantes : Mais pourquoi l'homme cherche il ainsi à créer de nouveaux organismes vivant? Pourquoi vouloir toujours aller plus loin dans la transgression des lois de la génétique? Pourquoi vouloir jouer à Dieu?

Dans les messages donnés par les extraterrestres (1974 p116-117): les Elohim nous expliquent.

...Nous avons pu en effet découvrir que dans l'infiniment petit , des être vivant intelligents vivent sur des particules qui sont pour eux des planètes et des soleils en se posant les mêmes questions que nous. L'homme est une "maladie" de l'être gigantesque dont les planètes et les étoiles sont des atomes. Et cet être est surement parasite lui aussi d'autres atomes. Dans les deux sens, c'est infini. Mais l'important, c'est de faire en sorte que notre "maladie", l'humanité, continue d'exister et ne séteigne jamais. Nous ne savions pas, en vous créant que nous accomplissions une mission secondaire, "écrite" en nous, répétant ainsi ce qui avait été fait pour nous. Nous avons découvert à la lumière de notre création et de son évolution, nos orrigines à nous. Car nous aussi avons été créés par d'autres hommes...Vous êtes donc le maillon d'une continuité humaine précieuse. D'autres mondes existent et l'humanité se développe certainement en d'autres point de l'univers... L'important est apparemment de créer suffisamment de mondes pour que l'humanité ne séteigne pas mais surtout de chercher à ce que l'équilibre ne soit pas rompu en reportant nos efforts sur une rechreche de l'amélioration du bonheur de ceux qui existent. C'est sur ce plan que nous pouvons vous apporter beaucoup.

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L'arche congelée 01/02/2005

Sources

En juillet 2004, des scientifiques britanniques ont lancé le projet de l'Arche congelée afin de préserver le patrimoine génétique d'espèces en voie d'extinction.

Une équipe de scientifiques de l'université d'Oxford a lancé au mois de juillet 2004 un projet baptisé l'Arche congelée, en référence directe à l'Arche biblique, dans laquelle Noé fit entrer un couple de chaque espèce animale pour le sauver du déluge. Le projet de l'Arche congelée consiste à prélever l'ADN (1) et des tissus de milliers d'espèces animales en voie d'extinction, puis de les conserver à des températures extrêmement basses dans divers laboratoires, dont celui du Musée d'Histoire Naturelle de Londres, un des promoteurs du projet. (*)Le but des scientifiques est de pouvoir étudier le génome (2) d'espèces qui risquent de disparaître, et dans certains cas d'essayer de les reproduire par clonage dans les années à venir.

Dix mille espèces animales sont aujourd'hui vouées à l'extinction, et il est très difficile de mesurer les conséquences de ces disparitions pour l'écosystème, car l'extinction d'une espèce a des répercussions sur plusieurs autres espèces. Or il est estimé que, dans les trente prochaines années, 24% des espèces de mammifères (1130 espèces) et 12% des espèces d'oiseaux (1183 espèces) disparaîtront définitivement.

Le professeur Alan Cooper, directeur du Centre de Biomolécules Anciennes de l'université d'Oxford, est un des auteurs du projet de l'Arche congelée. Il travaille sur l'ADN ancien, un peu à la manière d'un archéologue. Le professeur Cooper a ainsi étudié le génome du Dodo, un oiseau disparu à la fin du XVIIème siècle, qui vivait sur l'Ile Maurice dans l'Océan Indien. En extrayant des fragments de l'ADN d'un Dodo à partir d'un os conservé au British Museum, à Londres, il a pu retracer l'histoire biologique de l'animal disparu depuis trois siècles.

Actuellement, en France, des espèces telles que le Vison européen, le Cerf rouge corse, le Chamois de la Chartreuse, l'Ecureuil roux et la Vipère d'Orsini sont menacés d'extinction. Au niveau international, le Tigre d'Asie, l'Éléphant d'Asie, l'Éléphant d'Afrique, le Requin blanc, le Crocodile du Nil, le Rhinocéros blanc, le petit Rorqual sont parmi de nombreuses autres espèces en voie de disparition.

Dans l'Arche congelée britannique sont déjà entrées l'Oryx (antilope du Sahara), la colombe de Socorro (Mexique) et l'hippocampe jaune (Philippines).

Du 2 au 14 octobre 2004 se tiendra à Bangkok (Thaïlande) la 13 ème réunion des 166 pays qui ont signé la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction). Une cinquantaine de propositions destinées à actualiser les règles du commerce applicables à des espèces menacées seront proposées.

Dans les messages donnés par les extraterrestres (1974 p36-37)nous pouvons lire ceci :

"Iavhé vit que la malice de l'homme sur la Terre était grande et que tout l'objet des pensées de son coeur n'était toujours que mal" (Genèse, VI-5)...Le mal était qu'il veuille faire des progrès, risquant un jour d'être en mesure de rejoindre ses créateurs.

Ils (les Elohim) décidèrent donc, de leur lointaine planète, de détruire toute vie sur la Terre en envoyant des missiles nucléaires. Mais les Exilés (le serpent), prévenus de la chose avaient demandé à Noé de construire une fusée qui devait tourner autour de la Terre durant le cataclisme, contenant un couple de chaque espèce à sauvegarder. Ceci est un image. * En réalité, et vos connaissances vous permettrons bientôt de le comprendre, il suffit d'avoir une cellule vivante de chaque espèce, mâle et femelle, pour reconstituer ensuite l'être tout entier....


(1) Abréviation d'acide désoxyribonucléique, molécule constitutive des 23 paires de chromosomes d'un individu, héritées pour moitié de la mère et pour l'autre du père, contenue dans les noyaux des cellules.

(2) Terme issu d'une combinaison de « gène » et de « chromosome ». Le génome d'une espèce est l'ensemble du matériel génétique d'un organisme, c'est-à-dire l'ADN organisé en gènes et contenu dans les chromosomes. Les gènes contiennent l'information pour fabriquer toutes les protéines dont un organisme a besoin pour fonctionner. Ces protéines déterminent entre autres choses l'apparence, la santé et parfois le comportement de l'organisme.

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Des castors « Jurassiques » trouvés en Chine

Source: Traduction d'un document provenant de BBC

La découverte d'un castor fossile qui vivait quand les dinosaures ont gouverné le Monde pourrait défier quelques-unes des idées acceptées actuellement sur l’évolution des mammifères.

Le lutrasimilis Castorocauda qui a été déterré en Chine est une espèce précédemment inconnue de la science.

Il date d’il y a 164 million d'années, (14 à 15.000 ans selon nos estimations basées sur les messages donnés à Raël par les Elohim) un temps ou ont pensait que les mammifères étaient des créatures primitives confinées sur la terre ferme.

Mais cet animal était adapté à la vie aquatique, cela signifie que les scientifiques peuvent maintenant repenser leurs théories. ( ce qui confirmerait notre théorie que les mammifères primitifs des ères dites tertiaires et début quaternaire, étaient contemporains des derniers dinosaures et ont disparus en même temps lors du « déluge biblique»)

Le fossile a été trouvé dans la Formation Jiulongshan Jurassique Centrale, un dépôt riche de restes de dinosaures, des premiers insectes et d’autres organismes.

Comme les castors modernes, la créature avait de la fourrure, une queue totalement écailleuse et des pattes palmées pour nager. C'était un sujet de la dimension d'une petite femelle ornithorynque qui avait une denture pour manger du poisson.

Le mammifère aquatique

Tel quel les traits avancés ont surpris beaucoup de scientifiques, en suggérant que des mammifères vivaient pendant l’ère des dinosaures et avait déjà conquis une grande variété d'environnements.

Les mammifères de l’époque étaient pensait on en grande partie primitif comme la musaraigne – créatures grouillants aux pieds des dinosaures, et prospérant seulement quand les dinosaures ont disparu il y a quelques 65 million d'années. (5 à 6.000 ans selon les datations Raëliennes basées sur les messages)

Les remarques faites sur la découverte révélée dans le journal Science, par Thomas, Martin du Forschungsinstitut Senckenberg à Francfort, Allemagne, démontrent que des mammifères avait conquis l'eau 100 million d'années plus tôt qu’on ne le pensait précédemment.

" Ce fossile passionnant est une pièce supplémentaire du puzzle qui laisse perplexe dans une série de découvertes récentes, démontrant que la diversité au début de l'histoire de l’évolution des mammifères était beaucoup plus complexe que perçu comme il y a moins qu'une décennie, " écrit il.

NB : Les annotations en bleu ont été ajoutées par le traducteur

samedi, janvier 28, 2006

L'univers infini une nouvelle théorie









A propos de la Théorie du « Big Bang » (qui est un peu en cosmologie l’équivalent de la théorie de l’évolution des espèces)
Lettre Ouverte aux Esprits Fermés…source http://www.cosmologystatement.org


La lettre ouverte exposée ici est adressée à la communauté scientifique par un important groupe de scientifiques inquiets.

Il s’interroge sur une « croyance de cœur » la croyance dans la théorie du « soi-disant Big Bang ».

Commentateur acerbe sur les errements du comportement humain, John Ralston Saul, a comparé la communauté scientifique à l'église médiévale !

Quelques-uns des signataires de la lettre ouverte seraient d'accord avec lui…

Nous êtres humains, du moins les mâles à ce qu'il paraît, avons un penchant pour installer des organisations - politique, religieuse, et scientifique – qui avec le temps deviennent autoritaires, très fermées et dogmatiques.

En dépit de ceci nous sommes amenés à croire que les scientifiques sont d'une façon ou d'une autre formés pour être au-dessus de telles défaillances de l'être humain. La tromperie réussit seulement parce qu’il n'y a aucun rapporteur investigateur efficace de la science.

Un défi à l’orthodoxie a tendance à être ignoré dans un premier temps. Mais s'il gagne le support populaire, le premier mouvement est de le discréditer et faire taire le challenger. Cependant, comme Robert Matthews note dans « le Nouveau Scientifique » du 13 mars 2004: " au fil des années, sociologues et historiens ont souvent signalé et jeté un regard critique sur la disparité entre, comment la science est supposée travailler et ce qui se passe vraiment.

Max Planck était juste quand il a dit, " Une innovation scientifique importante fait rarement sa place en gagnant partout progressivement et finir par convertir ses adversaires.

Ce qui se passe est que ses adversaires disparaissent progressivement, et que la génération croissante va se familiariser avec les idées du commencement ".

Matthews continue: " cela est pire. Comme l'évidence s’accumule, les deux camps n’arrivent pas à un consensus unique, mais réellement vont plus loin séparément propulsés par leur vision différente, et le pire de tout, il n’y a pas de perspective de consensus à moins que les deux côtés puissent consentir au sujet de la cause donnée ". une telle conclusion présage mal toute tentative pour changer le statu quo. Pendant ce temps, la théorie du Big Bang continue à faire des revendications extraordinaires basées sur de petites, voire aucunes évidences.

Lettre Ouverte à la Communauté Scientifique
principaux extraits reflétant l’état d’esprit actuel

La source: http://www.cosmologystatement.org / publié dans le Nouveau Scientifique, le 22 mai 2004

Le Big Bang aujourd'hui compte sur un nombre croissant d'entités hypothétiques,

choses que nous n'avons jamais observées : expansion, matière sombre et énergie sombre sont les exemples les plus courants.

Sans eux, il y aurait une contradiction fatale entre les observations faites par les astronomes et les prédictions de la théorie du Big Bang…

…Sans espèce quelconque de matière sombre, contrairement à ce que nous avons observé sur terre, en dépit de 20 années d'expériences, la théorie du Big bang fait des prédictions contradictoires sur la densité de la matière dans l'univers.

L'expansion exigerait une densité 20 fois plus grande que n’implique le « nucleosynthesis » du big bang…

La théorie prédit que l'univers est âgé approximativement de seulement 8 milliards d’années ce qui est des milliards d'années plus jeune que l'âge de beaucoup d'étoiles dans notre galaxie !?

…Les supporters de la théorie du big bang peuvent riposter que les théories alternatives n’expliquent pas chaque observation cosmologique.

Mais c'est à peine surprenant, leur développement a été compromis par un manque complet de financement…

…Un échange ouvert d'idées manque dans le courant dominant le plus les conférences.

Alors Richard Feynman pourrait dire que « la science en cosmologie est aujourd'hui la culture du doute ». Les différences d'opinion ne sont pas tolérées et les jeunes scientifiques apprennent à rester silencieux si ils ont quelque chose de négatif à dire au sujet du modèle standard du big bang. Ceux qui doutent du big bang craignent de le dire, cela leur coûterait le financement de leurs recherches…

Cela reflète un esprit dogmatique grandissant qui est étranger à l'esprit scientifique de libre information.

Aujourd'hui, virtuellement toutes les ressources financières et expérimentales en cosmologie sont consacrées aux grandes études du big bang.

Les Financements viennent seulement de quelques sources, et tous les comités de révision des pairs qui les contrôlent sont dominés par les supporters du big bang.

En conséquence, la dominance du big bang dans ce domaine est devenue autonome et indépendante de la validité scientifique de la théorie…

Reçoivent seuls (des Financements) les projets supportant la structure du big bang, sapant un élément fondamental de la méthode scientifique qui est le contrôle constant de la théorie contre l’observation…

Une telle restriction rend la discussion impartiale et la recherche impossible.

Pour rétablir ceci, nous préconisons que ces agences qui financent le travail en cosmologie mettent de côté une fraction considérable de leur financement pour enquêter dans les théories alternatives et contradictions d'observation du big bang. Évitant le parti pris, le comité de la révision des pairs qui alloue de tels fonds pourraient être composé d'astronomes et de physiciens extérieur au domaine de la cosmologie.

Allouer des fonds aux enquêtes sur la validité du big bang et ses alternatives, permettrait au processus scientifique de déterminer le modèle le plus exact de l'histoire de l’univers . (fin de la lettre)

NB : les Elohim enseignent que l’univers est infini et à toujours existé, il n’a ni début ni fin et n’est pas en expansion… Pour en savoir plus télécharger gratuitement leur message ICI

Univers Fini ou infini?

Source : Univers infini de Armel Larochelle, écrivain Québequois


Actuellement, la plus grande partie des hommes de science croit que l'univers a commencé il y a 15 milliards d'années.

Comment être sûr que l'univers est fini ou infini?

Il nous faut examiner la portée du principe de la conservation de l'énergie en fonction du temps et de l'espace.

On ne peut pas sincèrement croire que l'univers a 15 milliards d'années et croire en même temps au principe de la conservation de l'énergie. C'est l'un ou c'est l'autre. On ne peut pas tergiverser longtemps là-dessus. Si l'univers a effectivement 15 milliards d'années (plus ou moins, plus haut on parle de 8 milliards hm hm), il faut nécessairement affirmer que le principe de la conservation de l'énergie est une immense fausseté.


L'énergie ne dépend ni du temps ni de l'espace

Relativement au temps
Si l'énergie est vraiment INDESTRUCTIBLE, je dois admettre qu'une seconde avant, elle existait aussi. De même pour 10 secondes, pour 1 an, pour 15 milliards d'années, pour 15 000 000 00015 000 000 000 milliards d'années. Éternellement, quoi!

Relativement à l'espace
Si l'énergie est vraiment INDESTRUCTIBLE, je dois admettre que, si elle est présente ici, elle est également présente là, ailleurs. Je dois donc admettre que c'est la même chose pour une dimension aussi grande que celle qui correspond à 15 milliards d'années-lumière cubes, pour une dimension qui correspond à 15 000 000 00015 000 000 000 milliards d'années-lumière cubes. À l'omniprésence totale,
quoi!

Quand une chose est infinie dans le temps, elle doit nécessairement l'être aussi dans l'espace. Si une chose est éternelle c'est parce qu'elle est INDESTRUCTIBLE et parce qu'elle est indestructible elle ne peut pas être à un endroit et pas ailleurs. Elle ne peut pas ne pas être avant comme après. C'est inéluctable.

Nous venons donc de franchir un autre pas vers une vraie cosmogonie:


Symbol Raëlien, symbol de l'infini

Explication de Jacques Aizac Guide Raëlien :

symbole Rael


-- Le triangle vers le haut représente l'infiniment grand.
-- Le triangle vers le bas représente l'infiniment petit.

-- Le Swastika représente l'infini du temps ou le cycle, ce qui veut dire que la vie a toujours existé dans l'univers qui a toujours existé.

Tout se transforme, rien ne se perd, tout est cycle et rien n'est constant...

Nous sommes les parasites d'un atome gigantesque dont les étoiles sont des particules, comme à l'intérieur de nos atomes vivent des individus si petits et dont la vie est si courte par rapport à nous qu'il est impossible de communiquer avec eux puisse que leur planète, une particule plus petite qu'un électron qui lui ne vit qu'un milliardième de seconde par rapport à nous mais qui pour ses habitants ressemble à notre vision de la Terre, etc.


Big Bang : Il n'a peut-être jamais eu lieu


> L'observation d'une vieille galaxie sème le trouble
> Et si les Astronomes s'étaient trompés ...
> L'Univers pourait exister depuis toujours









Voir : http://www.journaux.fr/revue.php?id=84182

La dérive des continents

A propos de la dérive des continents

Il nous paraît impératif de commencer notre approche par une remise en question de la datation de la dérive des continents, en effet pas mal de questions restées sans réponses et de nombreuses conclusions scientifiques sont faussées par une datation qui selon notre hypothèse est totalement erronée…

On enseigne en effet que le début de la dérive des continents se situe dans une fourchette de 250 à 300 millions d’années, calcul basé sur la vitesse résiduelle actuelle de déplacement des plaques supportant ces continents

Or cette vitesse n’aurait pas été constante, mais aurait connu une variation exponentielle le déplacement étant de plusieurs centaines de km par an au début pour se réduire progressivement jusqu’à la valeur actuelle

Quels sont les points de repères qui permettent d’échafauder cette hypothèse

Lors de la découverte de la terre par les Elohim il y a environ 25.000 ans celle ci se caractérise par l’absence

totale de continents, elle est entièrement recouverte d’eau !

Par d’importants travaux, les Elohim ont fait émerger le continent originel, qui devait ressembler approximativement à la représentation ci dessous :

La disposition des futurs continents permet de mieux comprend

re la répartition de certaines espèces fossiles et de l’homme en particulier (pointe de clovis…peuplement de l’Amérique…) avant la fracture du continent originel et non après !

Après une longue période de création de formes de vie diverses , les Elohim décidèrent l’élimination de toute vie sur terre, cette destruction coïnciderait avec les récits anciens évoquant un «déluge » à l’échelle planétaire (selon l’épopée de Gilgamesh notamment) et daterait d’environ 5.500 à 6.000 ans qui serait la date du début de la dérive des continent ! une énorme différence qui remet en cause tous nos systèmes de datation…

Voici ci-dessous l’hypothèse de Marcel Terrusse (scientifique Raëlien / Ingénieur chimiste) sur cette question. Tirée du du livre"Accueillir les Extra-terrestres"

HYPOTHESES POUR UNE NOUVELLE HISTOIRE DE L'HUMANITE

La C.I.A, la centrale des renseignements U.S., a confié au Hudson Institut le soin de réaliser une étude sur la répartition des ressources en charbon, pétrole et gaz naturel dans le monde.

Le professeur Nebring, maître d'oeuvre de l'étude, est arrivé à une constatation qui est une énigme pour lui et pour les géologues.

A la fin de la période géologique du trias, à l’époque où les continents ne s’étaient pas encore séparés comme ils le sont maintenant, il existait une sorte d’anneau pétrolier.

A la suite de la dérive des continents, cet anneau pétrolier s’est fragmenté en différentes parties qui constituent maintenant la majorité des grands gisements mondiaux : gisement arctique et de l’Alaska, sables alphaltiques de l’Alberta, schistes bitumeux du Colorado, Mexique, Venezuela, huiles lourdes de l’Orénoque, Nigeria, Sud-Sahara, Libye, Arabie, Iran, Sibérie occidentale.

Cette répartition annulaire est très surprenante pour le professeur Nebring…

Actuellement on pense que le pétrole est le résultat de la décomposition en milieu réducteur et à l’abri de l’air d’organismes vivants. Les graisses et protéines sont transformées par des bactéries anaérobies (vivant à l’abri de l’air). Cette explication suggère donc un enfouissement rapide pour que les bactéries aérobies ne décomposent pas ces matériaux.

Les matériaux constitutifs de la houille sont des végétaux, tout particulièrement des fougères arborescentes. Là encore, il y a dû y avoir enfouissement très rapide, car dans la forêt un arbre mort tombé sur le sol se transforme en humus en l’espace de quelques mois. L’examen des gisements montre un enchevêtrement et une accumulation sur des hauteurs considérables (deux milles mètre dans le sud de la France) et sur des superficies impressionnantes (dix-huit mille kilomètres carrés aux Etats-Unis dans les Appalaches). Le volume de matériau brutalement enterré est énorme. Aucune théorie actuelle n’explique de façon satisfaisante comment de tels évènements purent se produire.

Nous Raëliens, avons la clef de cette énigme.

Les Elohims, lorsqu’ils décidèrent de détruire les laboratoires et les bases qu’ils avaient construites sur la terre, ainsi que l’ensemble de leur création, durent utiliser des moyens de destruction d’une puissance telle que même nos bombes actuelles ne sont que des pétard d’enfants à côté.

Le continent originel sur lequel ils avaient construit leurs bases et qui s’était, au fil des siècles, couverts de forêts habitées par tous les animaux de la création, ne résista pas à ce cataclysme.

La surface du sol fut balayée par des ondes de choc des explosions, les forêts et les animaux, la terre superficielle elle-même fut décapée, ensevelissant sous des tonnes de terre d’innombrables formes de vie animales et même des hommes…

La matière organique fut ainsi brutalement enterrée et subit ensuite la lente transformation en houille et en pétrole…

Et cet immense anneau qui intrigue tant Nébring aujourd’hui est le bourrelet de matière rejeté vers l’extérieur par le plus formidable bombardement qu’ait eu à subir l’humanité…

Le continent originel lui-même ne résista pas au coup de boutoir et se fragmenta sous l’effet des ondes de choc…

Lors de l’évènement, les plaques continentales se séparèrent brutalement et, dérapant sur leur soubassement de magma visqueux, partirent dans différentes directions ; d’abord très rapide, leur glissement se ralentit au fil des années, pour n’être plus aujourd’hui que de quelques centimètres par an…

La vitesse d’écartement des continents que nous mesurons aujourd’hui est une « vitesse résiduelle », qui tend à décroître dans le temps.

Pendant les milliers d’années qui séparèrent la création du continent originel par les Elohim de la période du déluge et des destructions, l’érosion fit son œuvre, et des sédiments se sont accumulés au fond des océans et particulièrement sur les rebords du talus continental, sédiments riches en débris animaux et végétaux de toute sorte, coquillage, etc.

Les plaques nord et sud-américaines, glissant vers l’ouest, fripèrent les sédiments océaniques qui, s’accumulant sur le bord de la plaque continentale, s’éleva pour former la Cordillière des Andes et les Montagnes Rocheuses.

De même, le sous-continent indien, se détachant de l’Afrique et glissant vers le nord-est, piégea entre lui et la masse asiatique la masse formidable des matériaux qui constitue aujourd’hui la chaîne himalayenne.

Le continent antarctique, dérivant vers le sud, se recouvrit d’un épais manteau de glace emprisonnant jusqu’à nos jours des vestiges de végétation tropicale.

L’Australie, initialement accolée à l’Afrique et au sous-continent indien, partit vers l’est, accumulant sur sa face est les sédiments formant aujourd’hui la cordillière australienne.

Ce cataclysmes furent titanesques, ces bouleversements provoquèrent de grands changements climatiques et géologiques, anéantissant d’innombrables formes de vie, les ensevelissant sous des couches de boues glacées, de sable, de limon et de terre.

Dans certaines zones, le changement brutal de température engloutit des animaux et des plantes de zone tropicale dans une gangue de boue glacée qui les a conservés jusqu’à nos jours. Et l’on voit périodiquement émerger de leurs cercueils de glace, des mammouths et toutes sortes d’animaux du grand Nord sibérien…

Seul un très petit nombre d’homme furent protégés dans l’arche pendant le déluge. A leur retour, ils retrouvèrent des continents complètement ravagés par les destructions, méconnaissable. Les bouleversements géologiques avaient été énormes, en de nombreux lieux le sol avait été décapé, et des failles dans le socle continental entraînaient des phénomènes volcaniques.

Dans leurs déplacement sur le sol difficilement reconnaissable, ils en vinrent à constater que, là où ils trouvèrent précédemment la terre en un immense continent, ils trouvaient maintenant la mer.

Dans leur esprit et dans celui de leur descendance, un tel souvenir se déforma peu à peu et ainsi naquit le mythe de continents disparus…

L’idée de la disparition du continent de Mu ou de l’Atlantide vient de ce souvenir déformé par le temps et la transmission orale, qu’en des temps lointains, là où l’on trouve aujourd’hui l’eau, se trouvait un continent…

Mais le continent ne s’est pas enfoncé sous la mer…ils s’est éloigné…

Toutes les espèces vivantes ne furent pas recrées après le déluge ; certaines, considérées comme monstrueuses ou nuisibles pour le maintien de l’équilibre écologique, ne furent pas réimplantées, ce fut le cas de tous les grands reptiles, dinosaures et autres sauriens épouvantables.

Ceci explique la disparition brutale et simultanée des ces animaux antédiluviens…

Après le déluge, les Elohim cohabitèrent avec les hommes de la Terre. Les traces de leur présence que nous pouvons retrouver disséminées aux quatre coins de la terre son postdiluviennes.

Apprenons à ouvrir les yeux, nous avons tout autour de nous pour comprendre.

Nous sommes dans les temps de l’Apocalypse, temps où nous pouvons de nouveau espérer retrouver nos créateurs, les Elohim.

vendredi, janvier 27, 2006

La réalité d'une présence extratrerrestre

Prise de conscience de la réalité d'une présence extratrerrestre

Christel Seval Livre "Le Plan pour Sauver la Terre"

Article complet

Christel Seval est informaticien et travaille à la DGA, à la Délégation Générale de l'Armement. Il s'est rendu, comme beaucoup d'autres, à cette vaste foire, un peu vide, que fut cette rencontre intitulée "première rencontre européenne d'ufologie". J'ai écouté les différentes interventions. Puis j'ai lu avec attention le second livre de Seval, intitulé Le Plan pour Sauver la Terre, publié aux éditions JMG. Je conseille à mes lecteurs de se procurer cet ouvrage et de le lire. On y entend un discours qu'aucun ufologue n'a jamais tenu. Je dirais que c'est le discours d'un homme qui est conscient des problèmes contemporains et qui a pas mal réfléchi. Ce qui est étrange c'est de trouver de telles paroles dans la bouche d'un homme qui travaille dans un cadre militaire. Cela reste pour moi un mystère. Toujours est-il que ce qu'il écrit, il faut le lire et ce qu'il dit, il faut l'entendre. J'ai installé sur mon site la copie de son intervention.

Intervention de Christel Seval, 2005 ( 22 mégas, 56 minutes )

Je ne sais qui a inventé ce mot d'ethnocide. Peu importe, il est très parlant. Les concepts passent mieux lorsque quelqu'un a réussi à leur accrocher une étiquette langagière. Un génocide consiste à massacrer une population. Vous ne trouverez pas ce mot ethnocide dans un dictionaire. Le suffixe "cide" est associé au meurtre. genos doit être pris au sens de descendance. Dans un génocide on fait disparaître l'espèce. ethnos signifie nation, tribu. Dans le génocide on fait disparaître l'espèce. L'ethnocide évoque le collapsus, la lyse, la décomposition d'une culture. Dans son livre et dans son exposé Seval présente de manière très crédible l'ethnocide inévitable qui suivrait un contact frontal entre un ou des civilisations extraterrestres et notre fragile civilisation terrienne. Tout cela avait déjà été évoqué bien des années auparavant et très probablement pour la première fois dans les textes Ummo les plus anciens, datant du milieu des années soixante. J'avais repris cette idée dans plusieurs de mes livres, en y associant un mécanisme de défense psycho-socio-immunologique de la société terrienne, par rejet ou enkystement ( à travers le phénomène de folklorisation ) d'une prise de conscience de la réalité d'une présence extratrerrestre, sporadique ou résidente.

Là où Seval apporte quelque chose de nouveau c'est quand il explique que ce phénomène ne serait pas immédiat, mais mettrait peut être une année ou plusieurs années à se développer, en entraînant à terme l'effondrement complement de la "civilisation terrienne", dans son ensemble. Je pense que sa vision est assez juste.

Seval s'"interroge ensuite sur les différentes facettes du phénomène ovni, par exemple sous son aspects ostentatoire. Il revient par exemple sur le phénomène des crop circles en évoquant, ce à quoi je n'avais pas pensé, que celui-ci puisse être un mélange entre des essais réalisés par les militaires ( les Anglais sont étroitement liés aux Américains sur ce terrain-là ) et des démonstrations effectuées par des ovnis. Il donne son interprétation d'un tel suivi :

Nous existons
Nous savons
Nous désapprouvons

Même crible d'analyse pour les mutilations de bétail, que j'avais dans mon site attribué à des expérimentations d'armes cancérigènes.

Je ne vais pas détailler l'ensemble de l'ouvrage, qui est très riche, bien documenté et que je vous incite fortement à lire. Je dirais que ce tour d'horizon est sans précédent. Lui-même s'étonne que les ufologues n'aient jamais abordé ces questions sous cet angle. Moi, pas.

Il s'interroge sur tous les aspects du phénomène ovni qu'il connaît, qui interpellent son intuition et sa rationnalité. A quoi peuvent correspondre ces nombreux enlèvements, poses d'implants qui se situent principalement aux Etats Unis, mais n'épargnent pas non plus des individus situés dans d'autres pays. Sont-ce de simples systèmes de répérage, d'écoute, voire de contrôle ? Y a-t-il réellement des expériences correspondant à des tentatives d'hybridation ?

La vision de Seval, vis à vis de l'avenir de la Terre est aussi pessimiste que la mienne. Il est parfaitement conscient que les puissantes oligarchies terrestres, Etats-Unis en tête, mènent notre humanité à la catastrophe à très brèves échéance. Il s'interroge sur l'éventualité de l'existence d'un plan de sauvetage et publie l'intégralité de la lettre Ummite reçue par les contactés, datés de janvier 1988, la D1378 dans la classification d'Ignacio Darnaude. Aux dires d'Hiltrud Franz, alias " Lou " cette lettre était la plus secrète, au sein du réseau des contactés, qui avaient signé un engagement de n'en rien révéler.

J'en avais publié une sorte de "digest" dans un de mes livres, en essayant de la condenser un peu, dans l'espoir de la rendre plus "digeste". Ce texte est à méditer. Plus le temps passe et plus nous sommes tentés de nous dire : "aurions-nous un autre choix?".

Seval ajoute une idée supplémentaire, que je trouve très pertinente et qui ne m'est pas venue à l'esprit. S'il y a intervention extraterrestre , celle-ci ne pourra intervenir que lorsque l'humanité aura mis en marche une procédure de suicide. Citons son livre, page 366 :


"L'urgence est grande et les contingences sont multiples. Tout d'abord il leur est impossible d'intervenir au grand jour, puisqu'il y aurait alors une prise de conscience collective de l'humanité, qui équivaudrait à une catastrophe ethnocidaire. L'humanité n'est pas prête au contact, et les prévisions son pessimistes : le développements des mouvements religieux obscurantistes d'une part et celle des volontés guerrières des stratèges américains d'autre par laissent peu de place à l'apparition d'une stabilité sociale, condition nécessaire à l'apparition d'un niveau de conscience et de rationalité suffisants. Les Marionnettistes s'imposent également une contrainte forte, celle de respecter la liberté de l'homme, individuelle et collective au travers de la libre autodétermination des peuples. Ceci pour deux raisons principales. Pour une question morale et d'éthique, car le respect de la liberté sous toutes ses formes est un composant fondamental de la progression de l'univers. Et pour une question de stratégie : laisser l'humanité commettre son suicide et intervenir une seconde après en la sauvant fera endosser l'entière responsabilité aux hommes et apportera l'entière légitimité du sauvetage Marionnettiste. Ce qui minimisera par la suite les implications négatives du contact forcé. Alors qu'une intervention Marionnettiste prématurée, ayant lieu par précaution avant que l'humanité ne se soit autodétruite soulèvera à jamais dans le coeur de l'homme le doute et l'amertume. Chez lui se posera indéfiniment la question de la légitimité de l'intervention, et beaucoup d'hommes se révolteront contre l'envahisseur soi disant animé de bonnes intentions.

Pour la stratégie Marionnettiste, la péréquation d'ensemble est celle-ci : s'ils n'interviennent pas, l'humanité s'autodétruit. S'ils interviennent, l'humanité subit un terrible choc ethnocidaire équivalent à une autodestruction. La marge de manoeuvre est extrêmement étroite, d'autant que la situation de la Terre ne laisse guère d'espoir d'amélioration dans les années à venir, celui d'apporter la stabilité sociale nécessaire à l'innocuité d'une prise de contact. Par conséquent des manoeuvres subtiles sont nécessaires."

Fin de citation.

Ces réflexions n'épuisent pas le sujet. Elles sortent un peu des bavardages des ufologues-bandar logs et apportent un éclairage suppémentaire sur ce kaléidoscope que représentent à la fois l'histoire humaine dans ses aspects occultes et le phénomène ovni dans toute son opacité déroutante.

Dans le dernier rapport GESTO j'ai repris une idée que j'avais déjà ébauchée dans L'année du Contact ( Albin Michel, 2003 ), un ouvrage qui était précédé d'un avertissement des plus explicites " tout ressemblance avec des personnages imaginaires serait purement fortuite ". De simples considérations d'ordre astrophysique rendent peu probable la coexistence, à 15 années lumière de distance, de deux ethnies humanoïdes qui soient aussi proches l'une de l'autre, à la fois sur le plan biologique et sur le plan culturel et scientifique. Il n'est pas impossible que l'ensemble du dossier Ummo n'ait été qu'un vaste montage, un patchwork créé avec l'aide d'une intelligence artificielle ( d'où sa cohérence ), un ensemble de documents créés par des êtres n'ayant nullement l'apparence alléguée. On pourrait ainsi mettre en doute l'existence même d'une telle ethnie et même planète. Mais les réflexions de Segal suggèrent une autre variante : que ce synchronisme découle d'un contrôle extérieur de ces
deux "pépinières".

Décidément, dès que nous cessons de nous prendre pour le nombril de l'univers, surgissent des hypothèses qui nous rendent plus modestes et nous renvoient à notre ignorance et aux illusions dont nous nous nourrissons concernant notre passé et nos origines.


Il reste une question supplémentaire :

Que pouvons-nous faire, nous qui sommes conscients de l'ampleur suicidaire du danger et n'entendons pas nous limiter à un simple rôle de spectateurs ?

Jean-Pierre Petit

mercredi, janvier 25, 2006

Notre système solaire composé par des extraterrestres?

Publié dans Yediut Haharonot - Israel 8/11/05

QUI A COMPOSÉ LE SYSTÈME SOLAIRE ? DES EXTRATERRESTRES !

Le programme SETI (Searching for Extra-Terrestrial Intelligence) célèbre ses 40 ans, et les scientifiques ont fait une surprenante déclaration: le système solaire est probablement un système artificiel composé par une civilisation supérieure. Pourquoi ?

Il n’y a aucun autre système planétaire organisé de cette façon. La Terre, et tout le système solaire, est probablement un système artificiel composé par une civilisation supérieure. C’est la conclusion qui a été présentée
par un des participants à la conférence tenue par le projet SETI. La conférence a eu lieu dans le laboratoire d’Astrophysique de l’Académie des Sciences, en Russie. Le Prof. Leonid Ksanpomality, directeur du laboratoire de physique planétaire de l’Académie des Sciences de Russie, explique : *1)"Dans tous les systèmes solaires, sans exception, les plus grosses planètes sont près du soleil et les petites, comme la Terre, sont loin du soleil. *2)Mais dans notre système solaire c’est tout à fait le contraire, les plus petites planètes sont près du soleil”. Le Dr. Sergay Yazeb, scientifique senior de l’Institut de Physique du Soleil, enchaîne : “Il y a 20 ans, seul un scientifique ne craignant pas pour sa réputation aurait pu dire que le système solaire est peut-être composé par une civilisation supérieure, mais maintenant les choses changent beaucoup”. Dans son rapport, remis à tous les participants, il mentionne six particularités qui distinguent notre système solaire de tous les autres systèmes solaires découverts par les scientifiques jusqu’à ce jour.

Le Dr. Yazeb conclut en ces mots :

“Avec les connaissances actuelles, nous
n’avons aucune autre explication pour la formation du système solaire que celle
de l’intervention d’une civilisation supérieure”.

Dimitry Prokofiev, Moscou



1) Systèmes solaires tels que les découvrent les scientifiques

2) Notre système solaire



Maintenant voyons ci-dessous ce que nous racontent les quelques extraits de textes anciens laissés par la civilisation sumérienne à propos de la création de notre système solaire et de la création de l'homme

Les Nefilim à l’origine des homo sapiens : l’explication du chaînon manquant... Mais aussi l’explication des astéroïdes, des comètes, celle de la première civilisation humaine. Résumé du livre de l’archéologue Sitchin. L’histoire de notre système solaire et de notre humanité à la lumière des textes sumériens d’après le livre La douzième planète de l’archéologue Sitchin réédité chez Louise Courteau (2000) La douzième planète (du système solaire) Ce pourrait être le titre d’un conte fantastique. C’est le titre d’un livre (épuisé) édité par l’archéologue Sitchin en 1976, édition Traces Oubliées, puis réédité chez Louise Courteau en 2000.

Source des extraits

Sitchin a déchiffré les tablettes d’écriture cunéiforme de la civilisation sumérienne, première civilisation digne de ce nom, (dont se sont inspirées les civilisations successives) et affirmait, 6 ans avant que le satellite IRAS ne signale la course vers la Terre d’un astre " inconnu jusqu’alors " (1982) et 12 ans avant que les ordinateurs de la NASA (1988) ne calculent que son orbite passe entre Mars et Jupit
er, l’existence d’une douzième planète appartenant à notre système solaire... Ce sont 500 000 ans d’Histoire qui sont contenus dans ce livre extraordinaire qui révèle que des astronautes bien plus sophistiqués que les nôtres sont venus sur terre et ont fait chaque fois brusquement évoluer l’humanité, après en avoir été les créateurs... Ceci est intitulé en sumérien : l’épopée de la Création. Tout ce qui nous est parvenu par bribes jusqu’à nos jours, notamment à travers la Genèse biblique mais aussi d’autres traditions, s’éclaire d’une manière inouïe avec les traductions perspicaces de l’archéologue. Enfin de l’archéologie qui ose décrire le maillon manquant de l’évolution, à rebrousse-poil du consensus de la pensée ambiante, et qui répond aux questions de fond que tout un chacun peut se poser sans jamais obtenir traditionnellement de réponses... Comment s’est constitué le système solaire ? D’où viennent ses anomalies ? D’où proviennent les humains ? Ne sommes-nous que les fruits du hasard de l’évolution ? D’autres planètes sont-elles habitées ? N’oublions pas que nous sommes entrés depuis quelques décennies dans la phase dite de l’Apocalypse, mot d’origine grecque qui signifie révélation. Et ce livre, de même sans doute que les 5 ou 6 autres qu’il a écrits depuis, en anglais, constitue bien une révélation multiple. Vous voulez en savoir plus ? Alors écoutez... A une époque lointaine, du Soleil ont émané Mercure sur son orbite actuelle, puis une grosse planète, Tiamat, sur l’orbite des Astéroïdes, puis, sur leurs orbites actuelles, Vénus et Mars. Jupiter, Saturne avec un satellite dénommé Gaga viennent ensuite. En dernier naissent Uranus et Neptune. Evidemment tout cela prit beaucoup de temps... Venant de l’espace lointain, Nibiru (ou Mardouk ainsi rebaptisée plus tard), n’était qu’une planète à peine née, crachant des flammes, émettant des radiations. Dix corps célestes (le Soleil et ses neuf planètes) l’attendaient... Les planètes tournant dans le sens contraire des aiguilles d’une montre sur le même plan, Nibiru faisait irruption dans le sens opposé. Nibiru passa d’abord près de Neptune qui l’attira dans le système solaire. Nibiru en fut déformée mais ce n’est qu’en avoisinant Uranus que s’échappèrent de la voyageuse 4 satellites appelés vents. Saturne puis Jupiter provoquèrent le jaillissement de 3 autres satellites et incurvèrent davantage son orbite vers le centre du système solaire, vers Tiamat... De celle-ci jaillirent alors onze satellites dont le plus important Kingu. A ce moment-là, Gaga se détacha de Saturne. Elle devint par la suite Pluton avec son orbite originale. " Mais les deux planètes n’entrèrent pas en collision, ce qui constitue un fait d’une très grande importance astronomique : les satellites de Nibiru - et non Nibiru-même - s’écrasèrent contre Tiamat. Ils déformèrent le corps de Tiamat " tandis qu’une énorme décharge électrique émanée de Nibiru neutralisa Tiamat. " La première rencontre entre Nibiru et Tiamat la laissa fissurée et sans vie " mais cela donne l’explication des comètes. " Nibiru, allant à grande allure dans la direction opposée, sur son plan orbital propre, brisa, cassa les hôtes de Tiamat dont il fit de petites comètes et leur imposa sa force de gravité. " Ce qui donne aussi le pourquoi de leur sens orbital inverse. C’est à ce moment-là aussi que le point orbital solaire de Nibiru fut établi, "Nibiru devait toujours retourner aux lieux de la bataille céleste. " Ainsi 3 600 ans plus tard Nibiru revint, ayant achevé sa première révolution autour du soleil. " Il frappa lui-même Tiamat, la fendant en deux. Un de ses satellites "heurta la moitié séparée destinée à devenir la Terre et la fit dériver jusqu’à une orbite où aucune planète n’était encore jamais allée. La Terre avait été créée ! tandis que Kingu entièrement dévasté, qui avait acquis une orbite indépendante lors du précédent passage de Nibiru, la perdit et devint satellite de la Terre désormais appelé la Lune. 3 600 autres années plus tard, une autre destinée fut réservée à l’autre moitié. Nibiru la frappa et la réduisit en mille morceaux. C’est là que furent créés le Ciel et la Terre, les Astéroïdes devenant un bracelet martelé dans les cieux séparant les planètes intérieures des planètes extérieures. Ces événements nous donnent de surcroît l’explication de la concentration des continents d’un seul côté tandis qu’à l’opposé existe une cavité profonde, le lit de l’Océan Pacifique. * La Terre donc reçut sa propre orbite autour du soleil (dont les saisons résultent ) et son mouvement de rotation axiale (donnant le jour et la nuit ). Les concepts de la Bible sont identiques :

Et Dieu dit : " Qu’il y ait des Lumière dans le Ciel martelé, afin de diviser le Jour et la Nuit ; Et laissons-les être des signes célestes et pour les saisons et pour les jours et pour les Années. "

Les tablettes s’accordent avec la pensée des savants modernes sur la période suivante. Une fois la Terre devenue planète, elle fut une boule bouillante de volcans en éruption remplissant les cieux de brumes et de nuages. Dès que les températures commencèrent à refroidir, les vapeurs se transformèrent en eau, divisant la face de la Terre en terres sèches et en océans. Après quoi se situe le commencement de la vie sur Terre, dans les eaux, tout d’abord puis les créatures qui nagent et les oiseaux qui volent. Alors seulement les créatures vivantes selon leur espèce : le bétail et les choses rampantes et les bêtes apparurent sur Terre, culminant avec l’apparition de l’homme. Mais si la vie apparut sur Terre, c’est pour avoir été fécondée par Nibiru, lors de la collision... La vie, conclurent les scientifiques, ne se développa pas sur les planètes terrestres aux composants chimiques lourds, mais aux limites du système solaire. De ses limites du système solaire, la Douzième Planète vint en notre milieu, une planète rougeâtre, rayonnante, engendrant et irradiant sa propre chaleur, fournissant avec sa propre atmosphère les ingrédients indispensables à la chimie de la vie. Si énigme il y a, elle réside dans l’apparition de la vie sur Terre. La Terre fut formée il y a quelque 4 500 000 000 ans, et les scientifiques croient que les formes les plus simples de vie y étaient déjà présentes, quelques centaines de millions d’années après. Croire à l’apparition aussi rapide que cela de la vie découle d’une simplicité d’esprit qui ne peut pas ne pas être dérangeante...

LA CREATION DE L’HOMME.

Tous les textes sumériens affirment que les dieux créèrent l’homme pour qu’il accomplisse leur travail. Donnant l’explication des lèvres de Mardouk (dieu dont le nom a été assimilé par la suite à la 12° planète, Nibiru, dans les textes mésopotamiens) l’Epopée de la Création rapporte ainsi la décision : " Je créerai un Primitif inférieur - Il s’appellera Homme. - Je créerai un travailleur primitif - sa tâche sera de servir les dieux - afin qu’ils soient plus à leur aise. " Le mot communément traduit par " vénérer " était en fait avod signifiant travailler. L’homme ancien et biblique ne " vénérait " pas son dieu, il travaillait pour lui.

Et le seigneur Dieu * prit " l’homme " et le plaça dans le jardin de l’Eden pour qu’il le cultive et le soigne

dit la Bible, au détail près d’une immense importance que les textes sumériens parlent, eux, des dieux. (*) La volonté des rédacteurs de la Bible d’imposer le _ monothéisme a conduit à la falsification des faits historiques quitte à les rendre obscures et incohérents :

Et Elohim dit : " Créons l’homme à notre image, à notre ressemblance. "

Or le mot Elohim signifie littéralement " divinités " que la Genèse utilise pour parler de " Dieu "... Plus loin encore dans la Genèse : " Regardez bien, l’homme est devenu l’un des nôtres, il connaît le bien et le mal. " A qui donc peut s’adresser ce dieu unique dans la perspective monothéiste, et qui était le " nous " à l’image desquels l’homme devait être créé et le fut, puis eut l’outrecuidance de devenir semblable à eux ?...

Le premier homme (homo sapiens) fut appelé Adam parce qu’il fut créé à partir de l’Adama, le sol de la Terre. Il était en d’autres termes, le " terrien ". Il ne lui manquait qu’un certain " savoir " (référence à " l’arbre de la connaissance " et une durée divine de vie (référence à " l’arbre de vie ") Sur les illustrations anciennes la ressemblance entre les dieux (les Néfilim) et les hommes est évidente. Mais comment donc l’homme fut-il créé ? L’évolution peut expliquer le cours général des événements qui se développer sur Terre la vie et les formes de vie, de la créature unicellulaire jusqu’à l’homme. Mais l’évolution ne peut pas expliquer l’apparition de l’homo sapiens qui se produisit, pour ainsi dire, du jour au lendemain, étant donné les millions d’années que demande l’évolution, et le manque de toutes traces d’étapes antérieures pouvant indiquer un changement progressif à partir de l’homo erectus. L’hominidé du genre homo est un produit de l’évolution. Mais l’homo sapiens est le fait d’un événement révolutionnaire et soudain. Il est apparu de manière inexplicable il y a 300 000 ans, des millions d’années trop tôt ! Les savants n’ont aucune explication. Les textes sumériens et babyloniens en ont une ; l’Ancien Testament aussi : il fut créé par les dieux.

Voyons ensuite les quelques extraits tirés du livre Elohim une autre lecture de la bible de Roger Vignerons

Le mot hébreu qui nomme l’entité première de la Bible est composé de cinq lettres: aleph, lamed, hé, yod, mem. Après interversion du sens de lecture et transcription en caractères latins, cela donne: ALHIM.

Du Ve au Xe siècle après Jésus-Christ, les Massorètes (des rabbins dépositaires de la tradition ancestrale) ont ajouté, au texte hébreu de la Bible, qui est dépourvu de voyelles, les ponctuations qui en permettent, depuis lors, la vocalisation standard. C’est ainsi que, dans le système massorétique, ALHIM se prononce ELOHIM. Cette prononciation-là est retenue par la langue française tant écrite que
parlée. Elle colle parfaitement à l’hébreu. Le mot ALHIM est formé du radical ALH et du suffixe IM. Le radical ALH se prononce ELOHA, et se contracte dans la forme EL. En hébreu, le suffixe LM marque toujours le pluriel. Le mot ELOHIM est très précisément le pluriel du mot ELOHA, simplifié dans le mot EL. Structurellement ELOHIM signifie donc “les ELOHA” ou “les EL “. Mais, en hébreu, on ne dit ni “les ELOHA” ni “les EL “,
on dit tout simplement ELOHLM. C’est si vrai que si l’on dit, en français, “les ELOHIM “, on s’offre un pléonasme... qui a au moins le mérite de souligner le sens que le mot possède en lui-même.

Nous voici donc en présence d’un pluriel qui est incontournable. Ce pluriel n’est pas le fruit de quelque divagation ésotérique plus ou moins sulfureuse. Il est rigoureusement exact, en pleine pâte de l’hébreu, et il est ouvertement connu. Le” Dictionnaire Larousse” (édition de 1965 en trois volumes), pour ne citer que Cet ouvrage tout à fait impartial, mentionne clairement:” Elohim, mot hébreu (...) pluriel de el ou eloha... Ce pluriel est connu, depuis toujours, par tous ceux qui ont bien voulu prendre l’hébreu en considération. Mais ce pluriel n’est pas accepté.
Il dérange. Il entraîne trop loin au goût de certains. Il est écarté, dans la grosse majorité des traductions, parce qu’il est incompatible avec le concept de monothéisme que l’on prétend tirer de la Bible. ELOHA, EL et ELOHIM sont évacués ensemble au profit de DIEU. On se débarrasse du problème en feignant de l’ignorer, et on conduit les lecteurs des traductions ainsi édulcorées dans l’ignorance. Le problème, c’est qu’on ne voit pas comment la Bible pourrait inventer le monothéisme en présentant, en son centre, une entité composée de plusieurs individualités, et même (nous le vérifierons) d’une multitude d’individualités. Cherchez l’erreur ! Il y a, là, vraiment, un gros écueil...

...Nous savons, maintenant, parce que la vraie Bible nous l'apprend, qu'une entité à la fois plurielle et unitaire, nommée Elohim, est à l'origine de l'équilibre des choses sur la planète Terre. Nous savons que cette entité n'a pas " créé " l'univers cosmique, ni le système solaire, mais qu'elle est " arrivée d'ailleurs " pour prendre possession d'un ancien magma et " l'arranger " à sa convenance. Cet AILLEURS, d'où arrive Elohim, est-ce l'immensité indéterminée de l'espace cosmique ? Est-ce, plus précisément, une planète parmi les innombrables planètes dont les astronomes supposent l'existence, aussi bien dans notre galaxie que dans les autres ? Est-ce un univers parallèle, une autre dimension de l'espace-temps, tels que les subodorent les para-normaliens ? Est-ce le monde dit " spirituel "

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