jeudi, février 02, 2006

Video : L'évolution un mythe


mercredi, février 01, 2006

Les défis à la théorie de l'évolution : La création scientifique

Ces nouvelles découvertes qui défient la théorie de l'évolution
et confirment toujours plus la théorie créationiste décrite dans les messages donnés
à Raël par les Elohim.

Les ancêtres de l'homme et du chimpanzé se seraient croisés???


Les ancêtres de l'homme et du chimpanzé se seraient croisés pendant des millénaires sinon des millions d'années, avant une séparation définitive beaucoup plus récente que l'on ne pensait, selon une étude publiée mercredi en ligne par la revue Nature.

Selon ce travail mené par des chercheurs américains sous la direction de David Reich, de la Harvard Medical School à Boston, les deux lignées se sont d'abord séparées il y a 6,3 millions d'années au maximum, et probablement il y a moins de 5,4 millions d'années, mais cela ne les a pas empêchées de procéder à des échanges de gènes.

Cela, précisent les scientifiques, est perceptible en particulier au niveau des chromosomes X (chromosomes sexuels femelles), dont les similitudes semblent refléter une longue «ré-hybridation» entre les deux lignées. Le «divorce» final ne serait intervenu qu'au terme d'une période de «métissage» qui a duré peut-être 4 millions d'années.

«L'étude a donné des résultats inattendus quant à la façon dont nous nous sommes séparés de nos parents les plus proches, les chimpanzés. Nous avons constaté que la structure de la population qui a existé autour de la période de cette spéciation (apparition de nouvelles espèces) était différente de n'importe quelle population moderne de singes. Quelque chose de très particulier a dû se produire à ce moment-là», résume David Rech dans un communiqué accompagnant le texte scientifique.

Les résultats obtenus, selon les chercheurs, remettent en question le statut d'hominidés considérés comme les plus anciens ancêtres de l'homme, tels que le sahelanthrope (alias Toumaï), vieux de 6 à 7 millions d'années, Orrorin (dit «ancêtre du millénaire»), de 6 millions d'années, ou encore l'ardipithèque, de quelque 5,5 millions d'années.

À noter que l'énigme des origines du chimpanzé demeure presque entière: contrairement aux ancêtres de l'homme qui ont livré de nombreux fossiles, aucun ossement, exception faite de quelques vieilles dents, directement attribuable aux premiers chimpanzés (de même qu'aux gorilles) n'a été décrit à ce jour.

Par ailleurs, le séquençage complet du génome du chimpanzé n'a pas non plus apporté les indications escomptées. Tout en accumulant beaucoup de données, ce travail collectif, publié l'an dernier, a confirmé que les deux espèces sont génétiquement identiques à 99 %, sans permettre de définir la spécificité de l'homme.

NDLR : Les Darwiniens ferment la boucle : "les premiers humains pratiquent la zoofilie avec des chimpanzés pour se transformer en humains modernes" ! ... (" Néo-homo chimpanzensis...? " et ceci supervisés sans doute par les comités d'éthiques des troglodytes néanderthaliens !?

Quelle horreur !? N'était-ce pas le premier crime contre l'humanité ? ;-)))))

Ils sont vraiment à coté de la question...n'importe quoi plutôt que d'admettre une intervention extérieure intelligente !

Dans les messages donnés par les extraterrestres

L'évolution un mythe :
p 118-119 :

...Vos savants ne se trompent pas complètement en disant que l'homme descend du singe et le singe du poisson, etc..En réalité le le premier organisme vivant créé sur la Terre à bien été un monocellulaire et a ensuite donné des êtres plus compliqués. Mais pas par hazard! Quand nous sommes venus pour créer la vie sur la Terre, nous avons commencé par des créations strès simples et nous avons fait progresser nos techniques d'adapatation au milieu pour faire ensuite les poissons, les batraciens, les mammifères, les oiseaux, les primates, et enfin l'homme qui n'est qu'un modèle de singe amélioré, auquel nous avons ajouté ce qui faisait que nous étions des hommes, nous l'avons fait à notre image comme cela est écrit dans la Genèse biblique. Vous pouviez vous rendre compte par vous-même qu'une évolution accidentelle a bien peu de chance de se produire pour arriver à une si grande variété de formes de vie, aux couleurs des oiseaux, à leurs démonstrations amoureuses, à la forme des cornes de certaines antilopes... Cela est l'oeuvre de nos "artistes"... L'évolution de la vie sur la Terre, c'est l'évolution des techniques de création et la sophistication des oeuvres réalisées par les créateurs (les elohim) pour aboutir finalement à la création d'un être semblable à eux.


"Et l'homme créa la vie",

tel est le titre couverture du magazine Siences et Avenir du mois de mars 2006. Dans le dossier de ce magazine de 10 pages on ne s'étonne même pas de savoir que les biologistes, physiciens, chimistes, informaticiens veulent réinventer la vie dans les éprouvettes ou les ordinateurs grâce à la biologie de synthèse. Aujourd'hui "des chercheurs bidouillent les gènes comme d'autres les transistors électroniques" précise l'article.

Plus de 30 ans auparavant le Prophète Raël prophétisait déjà que nous serions un jour, à notre tour, capable de créer toute forme de vie - tout comme il est révélé dans les ouvrages de Raël que l'homme fut créée scientifiquement en laboratoire grâce à une parfaite maîtrise de l'ingénierie génétique et de l'ADN par ces êtres venus d'une autre planète, les Elohim. (mot hébreu signifiant "ceux qui sont venus du ciel" et que l'on retrouve dans la Bible, dans la version orignale à la place du mot Dieu)-.

Voici entre autre des passages de certains ouvrages de Raël que l'on comprend mieux et que beaucoup premennt plus au sérieux aujourd'hui, à la lumière de nos connaissances scientifiques :

Dans chaque particule d’un être vivant, il y a toutes les informations nécessaires pour sa reconstitution

Raël, «Le message donné par les extra terrestres » p.70 (1973). (voir aussi p.225 et 227).

« On comprend évidemment mieux à la lueur de cette révélation pourquoi il est écrit que “ dieu ” fit l’homme à son image, tout comme prochainement les biologistes de notre planète créeront grâce à leur maîtrise grandissante de l’ADN des hommes artificiels faits “ à leur image"

Raël, « La méditation sensuelle » p.18 (1980) . (voir aussi Raël, « Oui au Clonage Humain.» p.39, 100).


« Ezéchiel : « Fils d’homme, ces ossements peuvent-ils revivre ? ».

Raël, « Le message donné par les extra terrestres » p.225 (1975).

Reprogrammer des bactéries pour les transfomer en capteurs biologiques de polluants ou de toxiques ou d'autres comme Christopher Voigt qui créent des bactéries "renifleuses" de cancer, fabriquer des virus pour comme le dis E. Wimmer "montrer qu'un virus est une simple formule chimique" mais aussi pour mieux cerner le virus pour riposter et envisager de s'en servir pour s'attaquer à des maladies comme la fièvre du Nil ou la méningite, construire le génome minimal, concevoir des cellules artificielles, créer des chimères, ... autant de sujets passionnants que les bilogistes et chercheurs réalisent ou sont en voie de réaliser. Pour plus d'infos lire Sciences et Avenir de mars 2006.

Voici ce que Dominique Leglu dans son édito du magazine Sciences et Avenir dis à ce sujet p.4 :

"C'est une révolution silencieuse. Un de ces sauts scientifiques fondamentaux en train de se dérouler au coeur des laboratoires et que le grand public ne devrait plus pouvoir ignorer. Si nous avons décidé de titrer ce numéro "Et l'Homme créa la vie" ce n'est pas seulement pour le plaisir de jouer sur les mots. Mais parce que actuellement, entre éprouvettes et ... ordinateur, ce qui se passe est réellement extraordianaire : les spécialistes vont être capables, avec l'aide de programmes sophistiqués, de piloter des assemblages de molécules et de donner naissance à des organismes ... vivants. Après les chimistes, voici venue l'ère des biologistes de synthèse !

Depuis plusieurs décennies, les généticiens ont plongé au coeur du vivant pour découvrir les secrets de la "machinerie" moléculaire qui le fait fonctionner. Tels de nouveaux géographes, ils ont entrepris de cartographier les génomes. Tels des informaticiens, ils gèrent des milliards de données, tout en séquençant ces génomes, égrenant gène après gène, molécule après molécule... Ces recherches fondamentales les font naviguer dans la nature toute entière, de la levue au riz, en passant par notre meilleur ami Canis familieris et ses 39 paires de chromosomes, ou de tout petits orgnismes tel Mycoplasma genitalium et ses 517 gènes... Sans nous oublier, nous et notre génome à 3 milliards de paires de base.

Et voici qu'après les découvertes, vient le temps de l'invention. De la création. De la fabrication d'une nouvelle vie. On prend les vieux gènes de base et on refait du neuf. Si possible à notre profit, par exemple en créant des petits organismes ayant la bonne idée de produire de l'énergie...



L'homme : une maladie de l'univers
Ils inventent une nouvelle génèse

Sources

En violant les lois du code génétique, des biologistes et des chimistes ont modifié la machinerie moléculaire de la synthèse des protéines. Ils commencent ainsi à créer des éléments vivants qui, naturellement, n'auraient jamais dû voir le jour sur Terre.

Le moment est historique. Pour la première fois dans l'histoire de la compréhension et de la maîtrise du vivant, des scientifiques ont entrepris de créer de nouveaux organismes, des éléments vivants ne correspondant en rien aux règles du code génétique.

Spécialistes de la biologie moléculaire et de la chimie des protéines, ces chercheurs ont modifié la structure de l'ADN et des différentes molécules qui assurent la transcription des messages que porte ce support de l'hérédité. Ils commencent ainsi à explorer un champ totalement inconnu où les lois qui ont régi l'évolution de l'ensemble des organismes vivants ne sont plus respectées.

Un demi-siècle après la découverte, avec le code génétique, des bases de l'hérédité et de la réplication du vivant, et alors que l'on achève le décryptage du génome de l'espèce humaine, une nouvelle discipline est en train de naître. Contrairement aux autres domaines des sciences du vivant, sa démarche n'est plus uniquement fondée sur la compréhension, la maîtrise des lois fondamentales de la génétique. Cette forme de rupture avec le respect de la nature correspond à une idée de départ aussi simple que ses perspectives sont vertigineuses. En témoigne la publication d'un groupe de chercheurs japonais dans le numéro de février du mensuel de Nature Biotechnology.

DES PROGRES RECENTS

L'équipe dirigée par Shigeyuki Yokohama (Université de Tokyo) explique comment elle est parvenue à intégrer une nouvelle paire d'éléments unitaires de l'ADN (ou nucléotides) fabriqués par synthèse au sein d'une molécule d'ADN. Elle a ainsi réussi à élargir et à modifier le code génétique qui, en temps normal, permet de passer d'un alphabet de quatre lettres (les "bases" A, C, G, T de l'ADN) à un alphabet de 20 lettres (les acides aminés constitutifs des protéines). Et cela en impliquant la totalité de la machinerie moléculaire réalisant la synthèse des protéines.

Cette publication fait suite à une série de progrès récents accomplis dans l'incorporation de nucléotides de synthèse dans des chaînes d'ADN naturel. Elle marque une étape importante en fournissant la démonstration que l'on peut greffer deux nucléotides non naturels dans le processus existant.

Le principe d'une modification volontaire du code génétique n'est pas nouveau. Il a notamment été envisagé et étudié au début des années 1960 par Alexander Rich (Massachusetts Institute of Technology). En revanche, la mise au point de nouvelles techniques de biologie moléculaire et de culture des cellules hautement performantes rend aujourd'hui possible les premières réalisations concrètes.

Les deux premières publications marquantes dans ce domaine datent du 20 avril 2001. Le mensuel Sciencerévélait alors les travaux de l'équipe américaine dirigée par Peter G. Schultz, du Scripps Research Institute de La Jolla, et de celle, franco-américaine, dirigée par Philippe Marlière, fondateur de la société Evologic. Ces chercheurs étaient parvenus à créer, de deux manières différentes, une bactérie Escherichia coline correspondant plus aux règles du code génétique naturel, et contenant, en son sein, un acide aminé modifié.

Pour les tenants de cette nouvelle discipline qui prétendent élargir l'alphabet du vivant, le système que nous connaissons actuellement peut être modifié et enrichi. Ainsi, en incorporant, comme les chercheurs japonais sont parvenus à le faire, deux nouveaux nucléotides, S et Y, s'ajoutant à A, T, C et G, on obtient une nouvelle combinatoire qui bouleverse la donne traditionnelle et permet d'envisager la création d'organismes vivants aux propriétés insoupçonnées.

Deux approches sont aujourd'hui privilégiées. La première a pour objectif de modifier les règles du jeu génétique en transmettant à un ADN naturel (de quatre nucléotides) des instructions génétiques qui le conduiront à assurer lui-même la création de précurseurs de nouveaux nucléotides. Cette stratégie d'"invasion" pourrait conduire à la création d'un organisme à la fois transformé et autonome doté d'une machinerie qui n'a encore jamais été observée sur la Terre. Une technique voisine, dite d'"enclave", ne s'attaque pas au système de codage génétique naturel lui-même mais introduit, au sein de l'organisme, un système génétique différent agissant sur la synthèse des protéines.

LA REECRITURE DE LA GENESE

La seconde approche consiste à bâtir artificiellement des machineries microscopiques complètes. Ces dernières comprennent tout le nécessaire, de l'ADN contenant des nucléotides de synthèse non naturels jusqu'à la traduction de ce nouveau code sous forme de nouvelles protéines. Ces travaux sont privilégiés par des équipes plus proches de la chimie. En misant sur une reconstruction artificielle, elles s'opposent aux premières qui parient d'emblée sur une forme de plasticité du vivant qui leur assurera de pouvoir diriger une nouvelle évolution.

Dans les deux cas, le principal objectif est l'obtention de protéines chimériques n'existant pas dans la nature et dont les propriétés espérées pourraient avoir de multiples applications industrielles ou médicales. On compte aujourd'hui une dizaine d'équipes spécialisées dans ce nouveau champ de recherche aux Etats-Unis, au Japon, en Allemagne et en France. Leurs progrès sont observés par plusieurs géants de l'industrie pharmaceutique comme Roche ou Merck même si rien ne permet encore de situer avec précision quand pourront émerger les premières applications concrètes.

Conscients de l'importance des travaux qu'ils mènent et qui font d'eux de véritables démiurges, plusieurs responsables de cette nouvelle discipline ne craignent pas, pour définir leur nouveau champ d'activité, d'avoir recours à des métaphores empruntant au vocabulaire religieux. C'est ainsi que l'élargissement du code devient pour certains la réécriture de la Genèse tandis que d'autres estiment qu'ils poursuivent et complètent l'ouvre de la création comme Dieu aurait pu le faire, s'il n'avait préféré se reposer le septième jour...

Reste, pour l'heure, un problème majeur : celui de l'encadrement de travaux dont le caractère potentiellement dangereux ne peut être ni ignoré ni sous-estimé. A l'abri de leur originalité, ils échappent aux systèmes d'autorisation et de contrôle en vigueur. D'où l'urgence de prendre en compte, au-delà de la manipulation génétique du vivant, la possibilité de transgresser des lois que l'on tenait, hier encore, pour immuables.

Suite à ces découvertes, on peut se poser les questions suivantes : Mais pourquoi l'homme cherche il ainsi à créer de nouveaux organismes vivant? Pourquoi vouloir toujours aller plus loin dans la transgression des lois de la génétique? Pourquoi vouloir jouer à Dieu?

Dans les messages donnés par les extraterrestres (1974 p116-117): les Elohim nous expliquent.

...Nous avons pu en effet découvrir que dans l'infiniment petit , des être vivant intelligents vivent sur des particules qui sont pour eux des planètes et des soleils en se posant les mêmes questions que nous. L'homme est une "maladie" de l'être gigantesque dont les planètes et les étoiles sont des atomes. Et cet être est surement parasite lui aussi d'autres atomes. Dans les deux sens, c'est infini. Mais l'important, c'est de faire en sorte que notre "maladie", l'humanité, continue d'exister et ne séteigne jamais. Nous ne savions pas, en vous créant que nous accomplissions une mission secondaire, "écrite" en nous, répétant ainsi ce qui avait été fait pour nous. Nous avons découvert à la lumière de notre création et de son évolution, nos orrigines à nous. Car nous aussi avons été créés par d'autres hommes...Vous êtes donc le maillon d'une continuité humaine précieuse. D'autres mondes existent et l'humanité se développe certainement en d'autres point de l'univers... L'important est apparemment de créer suffisamment de mondes pour que l'humanité ne séteigne pas mais surtout de chercher à ce que l'équilibre ne soit pas rompu en reportant nos efforts sur une rechreche de l'amélioration du bonheur de ceux qui existent. C'est sur ce plan que nous pouvons vous apporter beaucoup.

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L'arche congelée 01/02/2005

Sources

En juillet 2004, des scientifiques britanniques ont lancé le projet de l'Arche congelée afin de préserver le patrimoine génétique d'espèces en voie d'extinction.

Une équipe de scientifiques de l'université d'Oxford a lancé au mois de juillet 2004 un projet baptisé l'Arche congelée, en référence directe à l'Arche biblique, dans laquelle Noé fit entrer un couple de chaque espèce animale pour le sauver du déluge. Le projet de l'Arche congelée consiste à prélever l'ADN (1) et des tissus de milliers d'espèces animales en voie d'extinction, puis de les conserver à des températures extrêmement basses dans divers laboratoires, dont celui du Musée d'Histoire Naturelle de Londres, un des promoteurs du projet. (*)Le but des scientifiques est de pouvoir étudier le génome (2) d'espèces qui risquent de disparaître, et dans certains cas d'essayer de les reproduire par clonage dans les années à venir.

Dix mille espèces animales sont aujourd'hui vouées à l'extinction, et il est très difficile de mesurer les conséquences de ces disparitions pour l'écosystème, car l'extinction d'une espèce a des répercussions sur plusieurs autres espèces. Or il est estimé que, dans les trente prochaines années, 24% des espèces de mammifères (1130 espèces) et 12% des espèces d'oiseaux (1183 espèces) disparaîtront définitivement.

Le professeur Alan Cooper, directeur du Centre de Biomolécules Anciennes de l'université d'Oxford, est un des auteurs du projet de l'Arche congelée. Il travaille sur l'ADN ancien, un peu à la manière d'un archéologue. Le professeur Cooper a ainsi étudié le génome du Dodo, un oiseau disparu à la fin du XVIIème siècle, qui vivait sur l'Ile Maurice dans l'Océan Indien. En extrayant des fragments de l'ADN d'un Dodo à partir d'un os conservé au British Museum, à Londres, il a pu retracer l'histoire biologique de l'animal disparu depuis trois siècles.

Actuellement, en France, des espèces telles que le Vison européen, le Cerf rouge corse, le Chamois de la Chartreuse, l'Ecureuil roux et la Vipère d'Orsini sont menacés d'extinction. Au niveau international, le Tigre d'Asie, l'Éléphant d'Asie, l'Éléphant d'Afrique, le Requin blanc, le Crocodile du Nil, le Rhinocéros blanc, le petit Rorqual sont parmi de nombreuses autres espèces en voie de disparition.

Dans l'Arche congelée britannique sont déjà entrées l'Oryx (antilope du Sahara), la colombe de Socorro (Mexique) et l'hippocampe jaune (Philippines).

Du 2 au 14 octobre 2004 se tiendra à Bangkok (Thaïlande) la 13 ème réunion des 166 pays qui ont signé la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction). Une cinquantaine de propositions destinées à actualiser les règles du commerce applicables à des espèces menacées seront proposées.

Dans les messages donnés par les extraterrestres (1974 p36-37)nous pouvons lire ceci :

"Iavhé vit que la malice de l'homme sur la Terre était grande et que tout l'objet des pensées de son coeur n'était toujours que mal" (Genèse, VI-5)...Le mal était qu'il veuille faire des progrès, risquant un jour d'être en mesure de rejoindre ses créateurs.

Ils (les Elohim) décidèrent donc, de leur lointaine planète, de détruire toute vie sur la Terre en envoyant des missiles nucléaires. Mais les Exilés (le serpent), prévenus de la chose avaient demandé à Noé de construire une fusée qui devait tourner autour de la Terre durant le cataclisme, contenant un couple de chaque espèce à sauvegarder. Ceci est un image. * En réalité, et vos connaissances vous permettrons bientôt de le comprendre, il suffit d'avoir une cellule vivante de chaque espèce, mâle et femelle, pour reconstituer ensuite l'être tout entier....


(1) Abréviation d'acide désoxyribonucléique, molécule constitutive des 23 paires de chromosomes d'un individu, héritées pour moitié de la mère et pour l'autre du père, contenue dans les noyaux des cellules.

(2) Terme issu d'une combinaison de « gène » et de « chromosome ». Le génome d'une espèce est l'ensemble du matériel génétique d'un organisme, c'est-à-dire l'ADN organisé en gènes et contenu dans les chromosomes. Les gènes contiennent l'information pour fabriquer toutes les protéines dont un organisme a besoin pour fonctionner. Ces protéines déterminent entre autres choses l'apparence, la santé et parfois le comportement de l'organisme.

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Des castors « Jurassiques » trouvés en Chine

Source: Traduction d'un document provenant de BBC

La découverte d'un castor fossile qui vivait quand les dinosaures ont gouverné le Monde pourrait défier quelques-unes des idées acceptées actuellement sur l’évolution des mammifères.

Le lutrasimilis Castorocauda qui a été déterré en Chine est une espèce précédemment inconnue de la science.

Il date d’il y a 164 million d'années, (14 à 15.000 ans selon nos estimations basées sur les messages donnés à Raël par les Elohim) un temps ou ont pensait que les mammifères étaient des créatures primitives confinées sur la terre ferme.

Mais cet animal était adapté à la vie aquatique, cela signifie que les scientifiques peuvent maintenant repenser leurs théories. ( ce qui confirmerait notre théorie que les mammifères primitifs des ères dites tertiaires et début quaternaire, étaient contemporains des derniers dinosaures et ont disparus en même temps lors du « déluge biblique»)

Le fossile a été trouvé dans la Formation Jiulongshan Jurassique Centrale, un dépôt riche de restes de dinosaures, des premiers insectes et d’autres organismes.

Comme les castors modernes, la créature avait de la fourrure, une queue totalement écailleuse et des pattes palmées pour nager. C'était un sujet de la dimension d'une petite femelle ornithorynque qui avait une denture pour manger du poisson.

Le mammifère aquatique

Tel quel les traits avancés ont surpris beaucoup de scientifiques, en suggérant que des mammifères vivaient pendant l’ère des dinosaures et avait déjà conquis une grande variété d'environnements.

Les mammifères de l’époque étaient pensait on en grande partie primitif comme la musaraigne – créatures grouillants aux pieds des dinosaures, et prospérant seulement quand les dinosaures ont disparu il y a quelques 65 million d'années. (5 à 6.000 ans selon les datations Raëliennes basées sur les messages)

Les remarques faites sur la découverte révélée dans le journal Science, par Thomas, Martin du Forschungsinstitut Senckenberg à Francfort, Allemagne, démontrent que des mammifères avait conquis l'eau 100 million d'années plus tôt qu’on ne le pensait précédemment.

" Ce fossile passionnant est une pièce supplémentaire du puzzle qui laisse perplexe dans une série de découvertes récentes, démontrant que la diversité au début de l'histoire de l’évolution des mammifères était beaucoup plus complexe que perçu comme il y a moins qu'une décennie, " écrit il.

NB : Les annotations en bleu ont été ajoutées par le traducteur