samedi, janvier 28, 2006

La dérive des continents

A propos de la dérive des continents

Il nous paraît impératif de commencer notre approche par une remise en question de la datation de la dérive des continents, en effet pas mal de questions restées sans réponses et de nombreuses conclusions scientifiques sont faussées par une datation qui selon notre hypothèse est totalement erronée…

On enseigne en effet que le début de la dérive des continents se situe dans une fourchette de 250 à 300 millions d’années, calcul basé sur la vitesse résiduelle actuelle de déplacement des plaques supportant ces continents

Or cette vitesse n’aurait pas été constante, mais aurait connu une variation exponentielle le déplacement étant de plusieurs centaines de km par an au début pour se réduire progressivement jusqu’à la valeur actuelle

Quels sont les points de repères qui permettent d’échafauder cette hypothèse

Lors de la découverte de la terre par les Elohim il y a environ 25.000 ans celle ci se caractérise par l’absence

totale de continents, elle est entièrement recouverte d’eau !

Par d’importants travaux, les Elohim ont fait émerger le continent originel, qui devait ressembler approximativement à la représentation ci dessous :

La disposition des futurs continents permet de mieux comprend

re la répartition de certaines espèces fossiles et de l’homme en particulier (pointe de clovis…peuplement de l’Amérique…) avant la fracture du continent originel et non après !

Après une longue période de création de formes de vie diverses , les Elohim décidèrent l’élimination de toute vie sur terre, cette destruction coïnciderait avec les récits anciens évoquant un «déluge » à l’échelle planétaire (selon l’épopée de Gilgamesh notamment) et daterait d’environ 5.500 à 6.000 ans qui serait la date du début de la dérive des continent ! une énorme différence qui remet en cause tous nos systèmes de datation…

Voici ci-dessous l’hypothèse de Marcel Terrusse (scientifique Raëlien / Ingénieur chimiste) sur cette question. Tirée du du livre"Accueillir les Extra-terrestres"

HYPOTHESES POUR UNE NOUVELLE HISTOIRE DE L'HUMANITE

La C.I.A, la centrale des renseignements U.S., a confié au Hudson Institut le soin de réaliser une étude sur la répartition des ressources en charbon, pétrole et gaz naturel dans le monde.

Le professeur Nebring, maître d'oeuvre de l'étude, est arrivé à une constatation qui est une énigme pour lui et pour les géologues.

A la fin de la période géologique du trias, à l’époque où les continents ne s’étaient pas encore séparés comme ils le sont maintenant, il existait une sorte d’anneau pétrolier.

A la suite de la dérive des continents, cet anneau pétrolier s’est fragmenté en différentes parties qui constituent maintenant la majorité des grands gisements mondiaux : gisement arctique et de l’Alaska, sables alphaltiques de l’Alberta, schistes bitumeux du Colorado, Mexique, Venezuela, huiles lourdes de l’Orénoque, Nigeria, Sud-Sahara, Libye, Arabie, Iran, Sibérie occidentale.

Cette répartition annulaire est très surprenante pour le professeur Nebring…

Actuellement on pense que le pétrole est le résultat de la décomposition en milieu réducteur et à l’abri de l’air d’organismes vivants. Les graisses et protéines sont transformées par des bactéries anaérobies (vivant à l’abri de l’air). Cette explication suggère donc un enfouissement rapide pour que les bactéries aérobies ne décomposent pas ces matériaux.

Les matériaux constitutifs de la houille sont des végétaux, tout particulièrement des fougères arborescentes. Là encore, il y a dû y avoir enfouissement très rapide, car dans la forêt un arbre mort tombé sur le sol se transforme en humus en l’espace de quelques mois. L’examen des gisements montre un enchevêtrement et une accumulation sur des hauteurs considérables (deux milles mètre dans le sud de la France) et sur des superficies impressionnantes (dix-huit mille kilomètres carrés aux Etats-Unis dans les Appalaches). Le volume de matériau brutalement enterré est énorme. Aucune théorie actuelle n’explique de façon satisfaisante comment de tels évènements purent se produire.

Nous Raëliens, avons la clef de cette énigme.

Les Elohims, lorsqu’ils décidèrent de détruire les laboratoires et les bases qu’ils avaient construites sur la terre, ainsi que l’ensemble de leur création, durent utiliser des moyens de destruction d’une puissance telle que même nos bombes actuelles ne sont que des pétard d’enfants à côté.

Le continent originel sur lequel ils avaient construit leurs bases et qui s’était, au fil des siècles, couverts de forêts habitées par tous les animaux de la création, ne résista pas à ce cataclysme.

La surface du sol fut balayée par des ondes de choc des explosions, les forêts et les animaux, la terre superficielle elle-même fut décapée, ensevelissant sous des tonnes de terre d’innombrables formes de vie animales et même des hommes…

La matière organique fut ainsi brutalement enterrée et subit ensuite la lente transformation en houille et en pétrole…

Et cet immense anneau qui intrigue tant Nébring aujourd’hui est le bourrelet de matière rejeté vers l’extérieur par le plus formidable bombardement qu’ait eu à subir l’humanité…

Le continent originel lui-même ne résista pas au coup de boutoir et se fragmenta sous l’effet des ondes de choc…

Lors de l’évènement, les plaques continentales se séparèrent brutalement et, dérapant sur leur soubassement de magma visqueux, partirent dans différentes directions ; d’abord très rapide, leur glissement se ralentit au fil des années, pour n’être plus aujourd’hui que de quelques centimètres par an…

La vitesse d’écartement des continents que nous mesurons aujourd’hui est une « vitesse résiduelle », qui tend à décroître dans le temps.

Pendant les milliers d’années qui séparèrent la création du continent originel par les Elohim de la période du déluge et des destructions, l’érosion fit son œuvre, et des sédiments se sont accumulés au fond des océans et particulièrement sur les rebords du talus continental, sédiments riches en débris animaux et végétaux de toute sorte, coquillage, etc.

Les plaques nord et sud-américaines, glissant vers l’ouest, fripèrent les sédiments océaniques qui, s’accumulant sur le bord de la plaque continentale, s’éleva pour former la Cordillière des Andes et les Montagnes Rocheuses.

De même, le sous-continent indien, se détachant de l’Afrique et glissant vers le nord-est, piégea entre lui et la masse asiatique la masse formidable des matériaux qui constitue aujourd’hui la chaîne himalayenne.

Le continent antarctique, dérivant vers le sud, se recouvrit d’un épais manteau de glace emprisonnant jusqu’à nos jours des vestiges de végétation tropicale.

L’Australie, initialement accolée à l’Afrique et au sous-continent indien, partit vers l’est, accumulant sur sa face est les sédiments formant aujourd’hui la cordillière australienne.

Ce cataclysmes furent titanesques, ces bouleversements provoquèrent de grands changements climatiques et géologiques, anéantissant d’innombrables formes de vie, les ensevelissant sous des couches de boues glacées, de sable, de limon et de terre.

Dans certaines zones, le changement brutal de température engloutit des animaux et des plantes de zone tropicale dans une gangue de boue glacée qui les a conservés jusqu’à nos jours. Et l’on voit périodiquement émerger de leurs cercueils de glace, des mammouths et toutes sortes d’animaux du grand Nord sibérien…

Seul un très petit nombre d’homme furent protégés dans l’arche pendant le déluge. A leur retour, ils retrouvèrent des continents complètement ravagés par les destructions, méconnaissable. Les bouleversements géologiques avaient été énormes, en de nombreux lieux le sol avait été décapé, et des failles dans le socle continental entraînaient des phénomènes volcaniques.

Dans leurs déplacement sur le sol difficilement reconnaissable, ils en vinrent à constater que, là où ils trouvèrent précédemment la terre en un immense continent, ils trouvaient maintenant la mer.

Dans leur esprit et dans celui de leur descendance, un tel souvenir se déforma peu à peu et ainsi naquit le mythe de continents disparus…

L’idée de la disparition du continent de Mu ou de l’Atlantide vient de ce souvenir déformé par le temps et la transmission orale, qu’en des temps lointains, là où l’on trouve aujourd’hui l’eau, se trouvait un continent…

Mais le continent ne s’est pas enfoncé sous la mer…ils s’est éloigné…

Toutes les espèces vivantes ne furent pas recrées après le déluge ; certaines, considérées comme monstrueuses ou nuisibles pour le maintien de l’équilibre écologique, ne furent pas réimplantées, ce fut le cas de tous les grands reptiles, dinosaures et autres sauriens épouvantables.

Ceci explique la disparition brutale et simultanée des ces animaux antédiluviens…

Après le déluge, les Elohim cohabitèrent avec les hommes de la Terre. Les traces de leur présence que nous pouvons retrouver disséminées aux quatre coins de la terre son postdiluviennes.

Apprenons à ouvrir les yeux, nous avons tout autour de nous pour comprendre.

Nous sommes dans les temps de l’Apocalypse, temps où nous pouvons de nouveau espérer retrouver nos créateurs, les Elohim.

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