mercredi, janvier 25, 2006

Notre système solaire composé par des extraterrestres?

Publié dans Yediut Haharonot - Israel 8/11/05

QUI A COMPOSÉ LE SYSTÈME SOLAIRE ? DES EXTRATERRESTRES !

Le programme SETI (Searching for Extra-Terrestrial Intelligence) célèbre ses 40 ans, et les scientifiques ont fait une surprenante déclaration: le système solaire est probablement un système artificiel composé par une civilisation supérieure. Pourquoi ?

Il n’y a aucun autre système planétaire organisé de cette façon. La Terre, et tout le système solaire, est probablement un système artificiel composé par une civilisation supérieure. C’est la conclusion qui a été présentée
par un des participants à la conférence tenue par le projet SETI. La conférence a eu lieu dans le laboratoire d’Astrophysique de l’Académie des Sciences, en Russie. Le Prof. Leonid Ksanpomality, directeur du laboratoire de physique planétaire de l’Académie des Sciences de Russie, explique : *1)"Dans tous les systèmes solaires, sans exception, les plus grosses planètes sont près du soleil et les petites, comme la Terre, sont loin du soleil. *2)Mais dans notre système solaire c’est tout à fait le contraire, les plus petites planètes sont près du soleil”. Le Dr. Sergay Yazeb, scientifique senior de l’Institut de Physique du Soleil, enchaîne : “Il y a 20 ans, seul un scientifique ne craignant pas pour sa réputation aurait pu dire que le système solaire est peut-être composé par une civilisation supérieure, mais maintenant les choses changent beaucoup”. Dans son rapport, remis à tous les participants, il mentionne six particularités qui distinguent notre système solaire de tous les autres systèmes solaires découverts par les scientifiques jusqu’à ce jour.

Le Dr. Yazeb conclut en ces mots :

“Avec les connaissances actuelles, nous
n’avons aucune autre explication pour la formation du système solaire que celle
de l’intervention d’une civilisation supérieure”.

Dimitry Prokofiev, Moscou



1) Systèmes solaires tels que les découvrent les scientifiques

2) Notre système solaire



Maintenant voyons ci-dessous ce que nous racontent les quelques extraits de textes anciens laissés par la civilisation sumérienne à propos de la création de notre système solaire et de la création de l'homme

Les Nefilim à l’origine des homo sapiens : l’explication du chaînon manquant... Mais aussi l’explication des astéroïdes, des comètes, celle de la première civilisation humaine. Résumé du livre de l’archéologue Sitchin. L’histoire de notre système solaire et de notre humanité à la lumière des textes sumériens d’après le livre La douzième planète de l’archéologue Sitchin réédité chez Louise Courteau (2000) La douzième planète (du système solaire) Ce pourrait être le titre d’un conte fantastique. C’est le titre d’un livre (épuisé) édité par l’archéologue Sitchin en 1976, édition Traces Oubliées, puis réédité chez Louise Courteau en 2000.

Source des extraits

Sitchin a déchiffré les tablettes d’écriture cunéiforme de la civilisation sumérienne, première civilisation digne de ce nom, (dont se sont inspirées les civilisations successives) et affirmait, 6 ans avant que le satellite IRAS ne signale la course vers la Terre d’un astre " inconnu jusqu’alors " (1982) et 12 ans avant que les ordinateurs de la NASA (1988) ne calculent que son orbite passe entre Mars et Jupit
er, l’existence d’une douzième planète appartenant à notre système solaire... Ce sont 500 000 ans d’Histoire qui sont contenus dans ce livre extraordinaire qui révèle que des astronautes bien plus sophistiqués que les nôtres sont venus sur terre et ont fait chaque fois brusquement évoluer l’humanité, après en avoir été les créateurs... Ceci est intitulé en sumérien : l’épopée de la Création. Tout ce qui nous est parvenu par bribes jusqu’à nos jours, notamment à travers la Genèse biblique mais aussi d’autres traditions, s’éclaire d’une manière inouïe avec les traductions perspicaces de l’archéologue. Enfin de l’archéologie qui ose décrire le maillon manquant de l’évolution, à rebrousse-poil du consensus de la pensée ambiante, et qui répond aux questions de fond que tout un chacun peut se poser sans jamais obtenir traditionnellement de réponses... Comment s’est constitué le système solaire ? D’où viennent ses anomalies ? D’où proviennent les humains ? Ne sommes-nous que les fruits du hasard de l’évolution ? D’autres planètes sont-elles habitées ? N’oublions pas que nous sommes entrés depuis quelques décennies dans la phase dite de l’Apocalypse, mot d’origine grecque qui signifie révélation. Et ce livre, de même sans doute que les 5 ou 6 autres qu’il a écrits depuis, en anglais, constitue bien une révélation multiple. Vous voulez en savoir plus ? Alors écoutez... A une époque lointaine, du Soleil ont émané Mercure sur son orbite actuelle, puis une grosse planète, Tiamat, sur l’orbite des Astéroïdes, puis, sur leurs orbites actuelles, Vénus et Mars. Jupiter, Saturne avec un satellite dénommé Gaga viennent ensuite. En dernier naissent Uranus et Neptune. Evidemment tout cela prit beaucoup de temps... Venant de l’espace lointain, Nibiru (ou Mardouk ainsi rebaptisée plus tard), n’était qu’une planète à peine née, crachant des flammes, émettant des radiations. Dix corps célestes (le Soleil et ses neuf planètes) l’attendaient... Les planètes tournant dans le sens contraire des aiguilles d’une montre sur le même plan, Nibiru faisait irruption dans le sens opposé. Nibiru passa d’abord près de Neptune qui l’attira dans le système solaire. Nibiru en fut déformée mais ce n’est qu’en avoisinant Uranus que s’échappèrent de la voyageuse 4 satellites appelés vents. Saturne puis Jupiter provoquèrent le jaillissement de 3 autres satellites et incurvèrent davantage son orbite vers le centre du système solaire, vers Tiamat... De celle-ci jaillirent alors onze satellites dont le plus important Kingu. A ce moment-là, Gaga se détacha de Saturne. Elle devint par la suite Pluton avec son orbite originale. " Mais les deux planètes n’entrèrent pas en collision, ce qui constitue un fait d’une très grande importance astronomique : les satellites de Nibiru - et non Nibiru-même - s’écrasèrent contre Tiamat. Ils déformèrent le corps de Tiamat " tandis qu’une énorme décharge électrique émanée de Nibiru neutralisa Tiamat. " La première rencontre entre Nibiru et Tiamat la laissa fissurée et sans vie " mais cela donne l’explication des comètes. " Nibiru, allant à grande allure dans la direction opposée, sur son plan orbital propre, brisa, cassa les hôtes de Tiamat dont il fit de petites comètes et leur imposa sa force de gravité. " Ce qui donne aussi le pourquoi de leur sens orbital inverse. C’est à ce moment-là aussi que le point orbital solaire de Nibiru fut établi, "Nibiru devait toujours retourner aux lieux de la bataille céleste. " Ainsi 3 600 ans plus tard Nibiru revint, ayant achevé sa première révolution autour du soleil. " Il frappa lui-même Tiamat, la fendant en deux. Un de ses satellites "heurta la moitié séparée destinée à devenir la Terre et la fit dériver jusqu’à une orbite où aucune planète n’était encore jamais allée. La Terre avait été créée ! tandis que Kingu entièrement dévasté, qui avait acquis une orbite indépendante lors du précédent passage de Nibiru, la perdit et devint satellite de la Terre désormais appelé la Lune. 3 600 autres années plus tard, une autre destinée fut réservée à l’autre moitié. Nibiru la frappa et la réduisit en mille morceaux. C’est là que furent créés le Ciel et la Terre, les Astéroïdes devenant un bracelet martelé dans les cieux séparant les planètes intérieures des planètes extérieures. Ces événements nous donnent de surcroît l’explication de la concentration des continents d’un seul côté tandis qu’à l’opposé existe une cavité profonde, le lit de l’Océan Pacifique. * La Terre donc reçut sa propre orbite autour du soleil (dont les saisons résultent ) et son mouvement de rotation axiale (donnant le jour et la nuit ). Les concepts de la Bible sont identiques :

Et Dieu dit : " Qu’il y ait des Lumière dans le Ciel martelé, afin de diviser le Jour et la Nuit ; Et laissons-les être des signes célestes et pour les saisons et pour les jours et pour les Années. "

Les tablettes s’accordent avec la pensée des savants modernes sur la période suivante. Une fois la Terre devenue planète, elle fut une boule bouillante de volcans en éruption remplissant les cieux de brumes et de nuages. Dès que les températures commencèrent à refroidir, les vapeurs se transformèrent en eau, divisant la face de la Terre en terres sèches et en océans. Après quoi se situe le commencement de la vie sur Terre, dans les eaux, tout d’abord puis les créatures qui nagent et les oiseaux qui volent. Alors seulement les créatures vivantes selon leur espèce : le bétail et les choses rampantes et les bêtes apparurent sur Terre, culminant avec l’apparition de l’homme. Mais si la vie apparut sur Terre, c’est pour avoir été fécondée par Nibiru, lors de la collision... La vie, conclurent les scientifiques, ne se développa pas sur les planètes terrestres aux composants chimiques lourds, mais aux limites du système solaire. De ses limites du système solaire, la Douzième Planète vint en notre milieu, une planète rougeâtre, rayonnante, engendrant et irradiant sa propre chaleur, fournissant avec sa propre atmosphère les ingrédients indispensables à la chimie de la vie. Si énigme il y a, elle réside dans l’apparition de la vie sur Terre. La Terre fut formée il y a quelque 4 500 000 000 ans, et les scientifiques croient que les formes les plus simples de vie y étaient déjà présentes, quelques centaines de millions d’années après. Croire à l’apparition aussi rapide que cela de la vie découle d’une simplicité d’esprit qui ne peut pas ne pas être dérangeante...

LA CREATION DE L’HOMME.

Tous les textes sumériens affirment que les dieux créèrent l’homme pour qu’il accomplisse leur travail. Donnant l’explication des lèvres de Mardouk (dieu dont le nom a été assimilé par la suite à la 12° planète, Nibiru, dans les textes mésopotamiens) l’Epopée de la Création rapporte ainsi la décision : " Je créerai un Primitif inférieur - Il s’appellera Homme. - Je créerai un travailleur primitif - sa tâche sera de servir les dieux - afin qu’ils soient plus à leur aise. " Le mot communément traduit par " vénérer " était en fait avod signifiant travailler. L’homme ancien et biblique ne " vénérait " pas son dieu, il travaillait pour lui.

Et le seigneur Dieu * prit " l’homme " et le plaça dans le jardin de l’Eden pour qu’il le cultive et le soigne

dit la Bible, au détail près d’une immense importance que les textes sumériens parlent, eux, des dieux. (*) La volonté des rédacteurs de la Bible d’imposer le _ monothéisme a conduit à la falsification des faits historiques quitte à les rendre obscures et incohérents :

Et Elohim dit : " Créons l’homme à notre image, à notre ressemblance. "

Or le mot Elohim signifie littéralement " divinités " que la Genèse utilise pour parler de " Dieu "... Plus loin encore dans la Genèse : " Regardez bien, l’homme est devenu l’un des nôtres, il connaît le bien et le mal. " A qui donc peut s’adresser ce dieu unique dans la perspective monothéiste, et qui était le " nous " à l’image desquels l’homme devait être créé et le fut, puis eut l’outrecuidance de devenir semblable à eux ?...

Le premier homme (homo sapiens) fut appelé Adam parce qu’il fut créé à partir de l’Adama, le sol de la Terre. Il était en d’autres termes, le " terrien ". Il ne lui manquait qu’un certain " savoir " (référence à " l’arbre de la connaissance " et une durée divine de vie (référence à " l’arbre de vie ") Sur les illustrations anciennes la ressemblance entre les dieux (les Néfilim) et les hommes est évidente. Mais comment donc l’homme fut-il créé ? L’évolution peut expliquer le cours général des événements qui se développer sur Terre la vie et les formes de vie, de la créature unicellulaire jusqu’à l’homme. Mais l’évolution ne peut pas expliquer l’apparition de l’homo sapiens qui se produisit, pour ainsi dire, du jour au lendemain, étant donné les millions d’années que demande l’évolution, et le manque de toutes traces d’étapes antérieures pouvant indiquer un changement progressif à partir de l’homo erectus. L’hominidé du genre homo est un produit de l’évolution. Mais l’homo sapiens est le fait d’un événement révolutionnaire et soudain. Il est apparu de manière inexplicable il y a 300 000 ans, des millions d’années trop tôt ! Les savants n’ont aucune explication. Les textes sumériens et babyloniens en ont une ; l’Ancien Testament aussi : il fut créé par les dieux.

Voyons ensuite les quelques extraits tirés du livre Elohim une autre lecture de la bible de Roger Vignerons

Le mot hébreu qui nomme l’entité première de la Bible est composé de cinq lettres: aleph, lamed, hé, yod, mem. Après interversion du sens de lecture et transcription en caractères latins, cela donne: ALHIM.

Du Ve au Xe siècle après Jésus-Christ, les Massorètes (des rabbins dépositaires de la tradition ancestrale) ont ajouté, au texte hébreu de la Bible, qui est dépourvu de voyelles, les ponctuations qui en permettent, depuis lors, la vocalisation standard. C’est ainsi que, dans le système massorétique, ALHIM se prononce ELOHIM. Cette prononciation-là est retenue par la langue française tant écrite que
parlée. Elle colle parfaitement à l’hébreu. Le mot ALHIM est formé du radical ALH et du suffixe IM. Le radical ALH se prononce ELOHA, et se contracte dans la forme EL. En hébreu, le suffixe LM marque toujours le pluriel. Le mot ELOHIM est très précisément le pluriel du mot ELOHA, simplifié dans le mot EL. Structurellement ELOHIM signifie donc “les ELOHA” ou “les EL “. Mais, en hébreu, on ne dit ni “les ELOHA” ni “les EL “,
on dit tout simplement ELOHLM. C’est si vrai que si l’on dit, en français, “les ELOHIM “, on s’offre un pléonasme... qui a au moins le mérite de souligner le sens que le mot possède en lui-même.

Nous voici donc en présence d’un pluriel qui est incontournable. Ce pluriel n’est pas le fruit de quelque divagation ésotérique plus ou moins sulfureuse. Il est rigoureusement exact, en pleine pâte de l’hébreu, et il est ouvertement connu. Le” Dictionnaire Larousse” (édition de 1965 en trois volumes), pour ne citer que Cet ouvrage tout à fait impartial, mentionne clairement:” Elohim, mot hébreu (...) pluriel de el ou eloha... Ce pluriel est connu, depuis toujours, par tous ceux qui ont bien voulu prendre l’hébreu en considération. Mais ce pluriel n’est pas accepté.
Il dérange. Il entraîne trop loin au goût de certains. Il est écarté, dans la grosse majorité des traductions, parce qu’il est incompatible avec le concept de monothéisme que l’on prétend tirer de la Bible. ELOHA, EL et ELOHIM sont évacués ensemble au profit de DIEU. On se débarrasse du problème en feignant de l’ignorer, et on conduit les lecteurs des traductions ainsi édulcorées dans l’ignorance. Le problème, c’est qu’on ne voit pas comment la Bible pourrait inventer le monothéisme en présentant, en son centre, une entité composée de plusieurs individualités, et même (nous le vérifierons) d’une multitude d’individualités. Cherchez l’erreur ! Il y a, là, vraiment, un gros écueil...

...Nous savons, maintenant, parce que la vraie Bible nous l'apprend, qu'une entité à la fois plurielle et unitaire, nommée Elohim, est à l'origine de l'équilibre des choses sur la planète Terre. Nous savons que cette entité n'a pas " créé " l'univers cosmique, ni le système solaire, mais qu'elle est " arrivée d'ailleurs " pour prendre possession d'un ancien magma et " l'arranger " à sa convenance. Cet AILLEURS, d'où arrive Elohim, est-ce l'immensité indéterminée de l'espace cosmique ? Est-ce, plus précisément, une planète parmi les innombrables planètes dont les astronomes supposent l'existence, aussi bien dans notre galaxie que dans les autres ? Est-ce un univers parallèle, une autre dimension de l'espace-temps, tels que les subodorent les para-normaliens ? Est-ce le monde dit " spirituel "

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